Tard dans la soirée, je reviens du marché le plus proche, mes besaces vides mais la bourse pleine, menant mon mulet au pas sur des routes qui n'ont jamais été sures. Sortir de la ville est presque plus dangereux que de circuler en son sein, si vous voulez mon avis. Seulement, la nuit, la température est plus raisonnable, les bandits dorment (on y croit), et surtout, il faisait jour quand je suis parti, mais hors de question pour moi d'abandonner ma forge une journée supplémentaire. Aux aurores, le feu crépitera dans le four. Bref, je somnole sur ma selle, donnant un coup de talon de temps en temps dans les flancs de l'animal quand je sens qu'il trouve les buissons plus intéressants que la route.
Quand des cris me sortent de mon sommeil. J'arrête ma monture tout en me redressant sur ma selle, tentant de repérer quelque chose à la lumière des étoiles.
Un soir, je décide de quitter le château, pour me promener, depuis que je suis ici je suis prise de curiosité, j'ai besoin de voir chaque endroit ou je me situe et d'en savoir plus, Lord Tyrion n'approuverai pas mon choix de sortir seule mais je vais contre son avis car il n'est pas dans la château pour le moment, et je ne vais pas aller chercher une servante pour me tenir compagnie, j'aime me retrouver seule.
Je quitte les lieux avec une cape bleue nuit que je glisse par dessus ma chevelure blonde. Je marche le long des rue et respire l'air frais, je peux entendre diverse bruit le feu qui brûle près de certaine maison ou encore des bébé qui pleure. Je ne fais pas attention je marche et réfléchie a tous se qu'il c'est passer depuis mon arrivé dans le château, ma rencontre avec Lord Tyrion. Tout est passer si vite et si soudainement.
J'arrive devant une plage et j'admire l'eau la lune reflète et c'est agréable à voir, je reste ici des heures à penser à tout et à rien juste a profiter quand soudain la lune laisse place au lever du jour et je me redresse soudainement je devrais rentrer au plus vite.
Je marche donc assez vite et passe devant une taverne, et je remarque deux hommes qui en sorte ils ressemble au hommes qui venais me voir dans la grange je cherche à passer mon chemin mais il est trop tard un des deux viens à moi il sente mauvais et le tout avec un mélange d'alcool je commence par en frapper un mais l'autre en profite pour me coller une gifle et je tombe au sol. Je sens un liquide chaud sur mes lèvres et je passe ma main dessus du sang. je recule comme je peux mais il approche je hurle donc comme pour demander de l'aide. Lord Tyrion n'est pas la pour m'aider, j'aurais pas du quitter le château....
La nuit, tout semble différent, et je n'avais pas remarqué être aussi proche de la cité. Et pas de ses meilleurs quartiers. Faut dire que coller une taverne à coté de la porte de la ville c'est un excellent moyen pour avoir les voyageurs comme clients. Même si à mon avis, le mieux placé, c'est celui du port. A chaque débarquement de bateau, la taverne est pleine. Pour ma part? Je tiens pas une taverne mais une forge déjà. Ensuite, je suis installé du coté du port, pour ma part. Un peu loin de l'écurie, mais à proximité des arrivages et de marchandises et de clients. Pis j'suis pas le seul forgeron en ville, pour ceux arrivant du continent qui ne seraient pas capables de me trouver. Si mon maitre m'a aidé à m'installer et m'a offert une première clientèle, j'ai toujours refusé de lui faire concurrence ou lui voler son travail. D'après lui, je suis le meilleur. D'après moi, j'ai encore bien des choses à apprendre, même si je dois dire que je me défend pas mal.
Bref, on est pas là pour commenter les activités de toutes les échoppes de la ville. On aurait t'être pas fini de bonne heure. Donc, je réveille ma monture pour lui faire accélérer l'allure, descendant en marche à peine la porte franchie, pour abandonner le mulet à l'attache devant l'écurie. De toute manière, il n'ira pas plus loin. Une impasse plus loin, je comprend enfin d'où venait ce cri. En me disant une fois de plus que je devrais apprendre à laisser les autres dans leur merde sans m'y engouffrer moi-même tête la première.
"Sinon les gars, si vous essayiez de vous en prendre à quelqu'un qui sait se défendre?"
Je tire mon épée pour la forme, mais vu les guss, je pense que si ils ne se dégonflent pas à la vue de l'arme, c'est aux poings que ça devrait se régler.
Mais pourquoi je suis sorti j'avais envie de prendre l'air mais je suis rester vraiment longtemps hors du château, vraiment trop longtemps et quand j'ai voulu revenir je suis tomber sur la bandes d'homme qui été sorti d'une taverne et qui se sont prise a moi. J'ai hurler et soudain je vois un homme enfin je l'entend parler surtout et les deux hommes se retire de moi. Je me cache dans un coin et regarde la scène sous mes yeux. Mais quand il voit l'arme de l'homme il prenne la fuite comme des lâches. Je tremble encore et me relève, ma robe est taché c'est malin tiens et mes cheveux sont en bataille.
Je vous remercie Monsieur...
Je passe la main dans ma chevelure blonde tout en tremblant encore, les souvenir de mon ancienne vie sont encore présent et me l'on fait remonter en cinq minutes de temps. Si vous n'avez pas été la, je pense que j'aurais fini par leur servir de passe temps de fin de nuit.
Je regarde le ciel et remarque que le jour se lève, je regarde l'épée qui à fait fuir les deux hommes et je remarque aussi pourquoi elle est magnifique et elle à l'air bien lourde à magner Magnifique épée...
Comme je le pensais, les deux types ne demandent pas leur reste avant de disparaitre dans la nuit. Certainement aller ennuyer une autre idiote n'ayant pas vu la nuit tomber. Mais je ne vais pas passer la nuit à jouer les justiciers, j'ai un commerce à faire tourner, une forge à rallumer, un mulet à desseller, et accessoirement, j'irai bien dormir une petite heure.
En attendant, je m'arrête devant la cachette de la jeune femme, tendant une main vers elle pour l'aider à se sortir de là.
"Nathaniel. Je laisse volontiers "Monsieur" à mon père."
Je lui répond sur un ton amusé, alors que je réalise enfin que je tiens toujours mon épée dans ma main gauche - curieux je sais, et alors? C'est interdit d'être gaucher? -. Je remise l'arme désormais inutile au fourreau alors que les paroles de la jeune femme font guise de remerciement.
"Sans vouloir vous contredire, je crois qu'il faudrait qu'ils en aient un peu plus dans le pantalon pour ça. Enfin excusez, vous avez l'air un peu trop bien pour un tel langage. Et pour être venue vous perdre dans ce quartier."
Si j'ai un semblant d'éducation? J'ai rapidement appris à lire, c'est utile pour les panneaux de signalisation. Mon maitre m'a appris à compter aussi, pour les affaires, c'est appréciable. Écrire... si j'en voyais l'utilité. Mais ça ne m'empêche pas d'avoir quelques bonnes manières, même si j'ai bien davantage le langage des environs que celui de mon notable de géniteur. Je lui laisse volontiers les ronds de jambe.
"Merci du compliment. Fabrication personnelle. L'une de mes premières pièces. Pas la plus belle, mais elle est efficace."
Les hommes on disparu et l'homme en Question viens me sauver je souris à sa remarque Nathaniel je vous remercie alors
Je remets ma robe en place et le regarde il n'est pas de la court et sa fait du bien de voir des personne qui sont un peu comme (moi) dans le fond je souris un peu J'ai déjà vu pire vous savez, je me suis promener sur la plage mais j'avoue que j'ai pas vraiment vu l'heure et il est vrai que se promener seule le soir pour une Lady n'est pas convenu.
Je souris et regarde son épée qui est magnifique et je l'écoute parler et je souris encore Vous êtes forgeron alors en tout cas très beau travail elle est magnifique.
Je remarque que je me suis même pas présenter au monsieur Je m'appelle Aurora
Je préféré éviter le nom de famille pour ne pas attirer des regard mauvais sur moi j'ai déjà du mal avec cette nouvelle vie. Je m'approche de son épée et la touche doucement.
Vous savez que j'ai toujours voulu apprendre à me servir d'une épée mais vous me direz que c'est pas élégant chez une dame.
Vu le cri qu'elle a poussé, je doute qu'elle ai "déjà vu pire". Mais je n'irai pas blesser son égo pour le simple plaisir de la reprendre. En vérité, j'ai des doutes sur le fait qu'on puisse voir pire sur la plage que dans ces ruelles étroites, mais chacun son avis sur la question. Pour moi qui vit ici à l'année, ce coin est un coupe-gorge. Pour elle, j'imagine que le coté "sauvage" de la plage suffit à être pire que le "réconfort" d'une cité.
"J'allais surtout dire que c'est dangereux, mais j'imagine que pour vous, "pas convenable" est une raison plus valable de rester chez vous."
Désagréable? Non, une simple constatation, émise sur le ton de la conversation. J'ai déjà dit que je disais ce que je pensais sans y mettre de ronds de jambes?
"C'est une épée. Tranchante, aiguisée, et plutôt bien équilibrée, sans me vanter. Mais j'imagine qu'il en existe de plus belles que les œuvres d'un humble forgeron de Port-Real dans vos châteaux."
Elle se présente alors à son tour. Aurora. Je me contente d'un signe de tête pour lui faire comprendre que j'ai entendu et retenu son prénom. Elle me dit alors qu'elle aurait bien aimé savoir se servir d'une épée, mais que cela n'est guère élégant chez une dame. Oui alors, par ici, toute "dame" avec un peu de jugeote a la dague à la ceinture et sait s'en servir, sinon.
"Je vais être honnête. Si j'avais une fille, une sœur ou une épouse, croyez-moi qu'elle saurait manier l'épée aussi bien que n'importe quel homme. Savoir se défendre, c'est une question de survie dans cette ville. Pensez-y."
L'homme qui me sauve et qui se nomme Nathaniel et bien différent des hommes qui sont ici il me rappelle un peu mon ancienne vie même si je ne le connais pas encore très bien.
Je l'avoue, je sais très bien que si une personne apprenais que je suis parti du château il m'en voudrais
Le ton sec mais en même temps je ne peux pas lui en vouloir il à raison c'est super dangereux de se promener dans les rue à des heures sombres et si Lord Tyrion l'apprend il va me passer un discourt salé.
à vrai dire je n'ai pas vraiment fait attention à ceux la je ne viens pas d'ici je suis la depuis peux ...
J'aime vraiment son épée, sa me rappelle beaucoup de souvenir quand père avais voulu me montrer comment magner une épée en bois et que j'ai échoué bien entendu je suis une Lady et les Lady ne combatte pas. Mais par moment je voudrais être tellement plus forte surement par mon passée
Nathaniel nous sommes d'accord, j'aurais voulu apprendre à combattre
Oui voila un bonne argument de sa part la vie et une chose précieuse, enfin quand on enlève toute la misère que elle engendre, si on veux vivre il faut apprendre à se battre.
Dites voir je vais paraître déplacé mais vous voudrez bien m'apprendre à me servir d'une épée
Bon Aurora, la tu demande peut être trop, tu le connais à peine mais pourquoi pas .
"Ce "il" vous en voudrais surement davantage de vous faire égorger dans un coupe-gorge."
Elle me dit qu'elle n'a pas fait attention, vu qu'elle n'est présente ici que depuis peu. Ouais bon, ok, Port-Real ça craint, et ce n'est pas forcément inscrit sur la porte d'entrée de la ville. Mais j'imagine que les questions de pouvoir rendent les couloirs de certains châteaux à peu près aussi dangereux qu'ici. Je sais pas, un passage étroit, sombre, dont on ne voit pas l'autre coté, il me parait logique de l'éviter.
"Laissez tomber. J'imagine que vous ferez attention maintenant. J'ai laissé ma monture à la porte de la cité. Si vous me permettez de vous proposer de m'accompagner à l'écurie, je vous reconduirai à votre auberge ensuite."
Elle me prend ensuite par surprise en me demandant de lui apprendre à combattre. Honnêtement? Je ne suis pas maitre d'armes. Je sais dans quel sens tenir une épée et réagir assez vite pour bloquer l'arme adverse, de même que profiter des ouvertures offertes par l'ennemi pour attaquer derrière une passe d'armes manquée. C'est un essentiel dans cette ville, de même que dans mon métier. Il serait assez malvenu que je ne puisse tester l'équilibre de mes créations tout de même!
"Ici et maintenant, clairement que non. Il fait nuit noire, j'ai arrêté de compter le nombre d'heures de chevauchée que j'ai dans les jambes, et il ne faudra pas deux minutes pour que le bruit de lames entrechoquées n'attirent la milice la plus proche. Si vous restez en ville quelques temps et que votre époux me le permet, pourquoi pas."
J'ai l'âme rebelle, ou du moins, je l'ai eue dans mes jeunes années. Mais je laisse les histoires de la cour à la cour. Pas envie de voir un chevalier quelconque me sauter sur le râble parce que je passe une heure avec son épouse, dusse-être pour lui apprendre le maniement de l'épée et rien de plus.
Je regarde l'homme enfin plutôt Nathaniel qui viens de me sauver avec une tel curiosité dans le regard il m'intrigue beaucoup et je voudrais en savoir plus même si je dois l'avouer, il a raison c'était une erreur de me balader en pleine rue seule à cette heure.
non je ne pense pas mais il serai disons déçu
Oui Lord Tyrion est pas violent mais sa pourrais le décevoir si il viendrai apprendre que je me promène seule le soir.
Oui c'est avec plaisir que je vous suis.
Bien entendu je le suis je ne vais pas rester seule en pleine rue avec les ivrognes du coin. Mais je lui demande ensuite de m'apprendre à me battre je veux apprendre à me défendre ce se genre d'homme maintenant j'ai tellement subi et mes cicatrice le prouve et une plus que l'autre qui reste encore graver et qui le restera à vie.
Non pas maintenant je vais devoir retourner au château avant que on remarque que je suis plus la et non, mon époux n'est pas en ville pour le moment j'ai du temps ici et je m'ennuie pas mal à vrai dire.
C'est la vérité je m'ennuie un peu j'évite pas mal de monde et essaye de me cacher ma véritable identité.
Je vous suis.
Et on part dans la nuit qui n'est plus aussi sombre maintenant il va vraiment falloir que je rentre discrètement pour pas me faire voir.
Son homme serait déçu qu'elle se fasse égorger dans une ruelle... On a vraiment le même sens du mot "déçu", elle et moi? Parce que pour moi déçu... Je suis une déception complète pour mon géniteur, voilà. J'omettrais de préciser que cela me rendrais presque fier, mais passons. Je suis trop usé pour penser à la partie gangrénée de ma famille ce soir.
"Si vous le dites."
Elle accepte de me suivre pour aller récupérer mon mulet et le déposer à l'écurie, alors, pour être certain qu'elle ne se perde pas à nouveau, je lui offre mon bras pour se tenir. Je décide de continuer cette conversation sur le chemin, histoire de ne pas passer plus de temps que nécessaire ici.
"J'ignore s'il est plus dangereux de trainer dans cette ville ou dans la campagne une fois la nuit tombée.
J'hésite un instant avant de secouer la tête, dépité. L'idée qui me traverse l'esprit est plus que mauvaise, je le sais, mais d'un autre coté, j'ai vraiment pas envie de devoir aller la secourir parce qu'elle sera tombée sur un voleur de grand chemin entre deux arbres.
"Si vous ne voulez pas dormir à l'auberge, vous voulez pas plutôt vous arrêtez chez moi? Je dormirai dans mon atelier."
Arrivés à la porte de la cité, je récupère ma monture, qui a du parcourir à peu près dix pas dans l'herbe grasse depuis que je l'ai déposé. Direction l'écurie à présent?
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