Blood SupremacyLe sang est la seule chose en ce bas monde qui ne ment jamais... Un jour, j'aurai ce pouvoir... Un jour, ce monde connaîtra mon nom... Un jour, les choses changeront pour de bon...
Dominik était là, dans le salon de sa belle villa de Port Réal. Assises dans un amas de coussins aux tissus diverses et précieux, la table basse devant elle se couvrait de plats en cuivre, en argent et en or. Ils présentaient tous fièrement des petits fours, des salades de fruits, des viandes en sauces et du pain. Des pichets en porcelaines et en verres, eux s’emplissaient avec d’alcool et de liqueur de qualité. Non tout ça n’était pas que pour elle. Oui, elle avait un bon appétit mais pas à ce point quand même. La Lionne sanguinaire attendait juste son cousin Jaime qu’elle avait fait inviter à venir dans la plus grande discrétion car elle n’avait aucune envie que sa crétine de cousine Cersei vient mettre son grain de sel dans le milieu et l’empêche de lui rendre visite.
Vêtue d’une robe en voile tellement transparente qu’elle cachait… rien ? Oui… rien en fait… pas même le rose de ses mamelons bien visible tout comme ses tétons qui pointaient fiers de leur perfection (l’avantage de pas avoir eut de mômes pour vous abîmer les nibards. Un châle en soie perlé habillait ses épaules alors que sa chevelure blonde tombait en cascade bouclé dessus. Une rivière aux reflets d’or au soleil qui entrait par la fenêtre, illuminant par la même, ses beaux yeux azurés.
Elle se demandait quand il allait arriver… ou pas ? Oui, Dominik était une femme réaliste. Jaime avait toujours eut d’yeux que pour Cersei, pourquoi répondrait-il présent à une de ses invitations ? Bon au moins, elle aura tenté le coup, après ça passe ou ça casse. Elle n’en aurait pas chagrin non plus. Ça ne sera qu’un échec. Elle avait apprise à grandir sur les échecs. Il faut en apprendre et Dominik saura juste de cette mésaventure que Jaime était l’amant fidèle de sa Cersei.
La Lionne hyperactive qu’elle était se leva de sa place, ayant déjà marre d’avoir les fesses assises depuis plus d’une heure, elle alla à la fenêtre d’un pas non chalent tout en se massant les croupes. Croupes qu’on avait aucun mal à mater tellement le voile de sa robe ne planquait rien. Elle s’accouda à la bordure et observa son jardin… les fleurs qu’elle avait ramené d’Essos, il y a 3 ans poussaient bien ici. Elle en était contente. Ça ressortait vraiment bien.
Et si ? Je venais de retrouver mes appartements et avais quitté mon armure. Je m’étais allongé sur mon lit regardant le plafond. Je fermais les yeux quelques instants. Quand soudain on frappa à ma porte. Je me releva et me dirigea vers la porte. Une jeune femme se trouvait devant moi avec une invitation. Qui pouvait m’envoyer une invitation. Surtout qu’il n’y avait aucun sceau dessus. Etrange. Je pris le rouleau et fit disposer la servante. Je refermai la porte derrière moi et me dirigea vers mon lit. J’ouvris le rouleau et fit que c’était une invitation de ma cousine Dominik. Je lu alors ce qu’elle avait écrit. Elle voulait me voir seule dans sa villa. Pourquoi pas après tout. Elle avait attisé ma curiosité pour le coup. Je voulais savoir pourquoi cette invitation en toute discrétion. Voudrait-elle me demander quelque chose ? Je me change rapidement. Me voilà avec ma tunique de cuir noir. Je met autour de mon cou mon foulard rouge, après tout c’est la couleur de ma bannière.
Je quitte mes appartements en toute discrétion et me rends à l’écurie prendre mon cheval. Je quitte les lieux et me rends à la villa de ma cousine en passant par un raccourci, m’évitant ainsi le peuple et les gardes royaux. Même si je n’ai rien à cacher, je ne veux personne au courant de mon escapade sans que je sache les raisons de cette invitation. J’arrive finalement devant la villa de ma chère cousine. Attelant mon cheval, j’entre dans la villa de ma chère cousine. J’arrive dans le salon et l’aperçois là devant la fenêtre dans une tenue des plus transparente montrant ses formes. Elle avait toujours eu un corps magnifique, je n’irais pas jusqu’à dire de déesse, ça lui montrait vite à la tête. Je pouvais aussi voir sur la table basse des plats en cuivre, en argent et en or où se trouvaient des petits fours, des salades de fruits, des viandes en sauces et du pain. Il y avait aussi des pichets en porcelaines et en verres. Connaissant ma cousine, ils devaient contenir le meilleur alcool et de liqueur de qualité de tout Port Real voir même de Westeros.
- Et bien cousine, me voilà, répondant à ton invitation et curieux de ce fait. Mais content de te voir. Toujours heureux de voir un membre de ma famille quel qui soit , dis-je en m’avançant vers elle avant qu’elle ne se retourne. Et je dois dire que sa tenue de face est encore plus troublante que vue de derrière.
Blood SupremacyLe sang est la seule chose en ce bas monde qui ne ment jamais... Un jour, j'aurai ce pouvoir... Un jour, ce monde connaîtra mon nom... Un jour, les choses changeront pour de bon...
Dominik n'a jamais été une femme à se désespérer, Jaime ne serait pas venu, ça n'aurait prouvé que son amour inconditionnel et aveugle pour Cersei. Ah... elle l'avait maudite plus d'une fois cette cousine envahissante et jalousie comme une vieille harpie. Elle avait su si bien éloigner d'elle Jaime. L'empêcher de le fréquenter. Elle ne lui avait laissé aucune chance de pouvoir le séduire. Cette garce n'acceptait pas la concurrence ! En oubliant totalement que cet homme était son frère et pour Dominik, son cousin germain ! La lionne sanguinaire avait bien plus de légitimité auprès de Jaime que cette dernière. Mais que voulez vous... c'était elle qui avait mis le grappin sur le seul homme qui lui plaisait vraiment.
Certes on aurait pu lui reprocher d'être lesbienne, mais une lesbienne toujours célibataire, car elle ne se serait pas mise en couple avec n'importe qui non plus. Elle ne faisait pas partie des femmes désespérée qui se dépêchait de se marier de peur que plus tard, plus personne ne veut de sa gueule. Non... au final et comme Cersei lui avait coupé méchamment la priorité, elle avait fait ce qu'elle devait faire : Vivre sa vie et suivre ses enjeux de femme moderne en prenant non seulement son indépendance financière, en refusant le mariage, et en montant son commerce. Et elle n'avait pas à rougir car elle avait bien réussi sa vie. La preuve était là tout autour d'elle. Elle ne manquait de rien. Possédait une belle villa, un navire. Voyageait entre Essos (autrefois) et Dorne. Une richesse qu'elle ne devait qu'à elle-même.
Perdue dans ses pensées en admirant son beau jardin fleurit, elle entendit la voix de Jaime résonner dans son dos... elle ne put qu'arborer un grand sourire sourire charmeur quand elle se retourna tout en laissant glisser le long de ses reins et de ses bras son châle... dévoilant à présent son corps sans pudeur aucune.
-- Je suis ravie Jaime que tu as répondu à mon invitation... Nous avons eu ces dernières années tellement peu de moment libre pour discuter et prendre du bon temps ensemble.
Elle s'approcha de lui, s'y collant un instant, sa poitrine ronde et généreuse, se compressant contre son torse et déposa un baise sur le coin de ses lèvres avant de se reculer.
-- Enfin reste pas ainsi, tout habillé, retire donc ta tunique de cuir, et viens auprès de moins sur les coussins... nous y serons à l'aise pour discuter et manger... aller ou je le fais moi même !
Elle se mit à rire tout en le disant et tourna le dos pour prendre place lascivement dans les coussins. Son regard azuré le dévorant sans une once de retenu.
- Tu veux un gobelet de liqueur ou du vin bien sucré comme je suis la seule à acheter ?
- Et bien cousine, me voilà, répondant à ton invitation et curieux de ce fait. Mais content de te voir. Toujours heureux de voir un membre de ma famille quel qui soit , dis-je en m’avançant vers elle avant qu’elle ne se retourne.
Et je dois dire que sa tenue de face est encore plus troublante que vue de derrière. Sa robe si on peut appeler cela une robe ou simplement un morceau de tissus montrait son corps aux formes généreuses. Elle s’approcha de moi, se colla contre mon torse, je pouvais sentir sa poitrine tout contre moi. Elle me déposa un baiser sur le coin de mes lèvres, cela me fit sourire et m’amusa. Elle me remercia d’avoir accepté son invitation, elle se recula de moi et me proposa de retirer ma tunique de cuir. Elle se dirigea vers les coussins et me proposa de la rejoindre. Apres quelques secondes de réflexion, d’hésitation, je retirai ma tunique, me retrouvant torse nu. Je venais de comprendre où elle voulait en venir et le but de son invitation. Apres je peux très bien me tromper mais je ne pense pas, elle a toujours voulu me foutre dans son lit sans succès. Je ne suis pas un homme facile. Discuter et manger. Pourquoi pas. Je la rejoins d’autres et m’installa, prenant une poignée de fruits.
- Alors cousine comme ça tu veux passer du temps avec ton cousin préféré ? demandais-je tout en la fixant dans les yeux. Oui dans les yeux.
Elle me demanda ce que je désirais boire, gobelet de liqueur ou du vin bien sucré. J’optais pour le vin bien sucré. Il est vrai que de ce côté-là elle savait bien choisir son alcool et trouvait le meilleur. On ne pouvait lui retirer cette qualité. Je comprends également pourquoi son commerce fonctionne très bien et de plus c’est une Lannister. Juste à notre nom, les gens savent à qui ils ont affaire.
Blood SupremacyLe sang est la seule chose en ce bas monde qui ne ment jamais... Un jour, j'aurai ce pouvoir... Un jour, ce monde connaîtra mon nom... Un jour, les choses changeront pour de bon...
Dominik regarde ou scrute plutôt son Cousin Jaime… tant d’hésitation en un seul homme… quelle dommage. Elle ne put qu’en rire en le voyant venir jusqu’à elle torse nu. Il était encore très beau pour son âge et pour un père de 3 enfants dont la sœur jumelle le pompait allégrement en le gardant rien que pour elle.
– Je crois que tu feras toujours rire Jaime… t’es là tout coincé et hésitant. Gardant bien tes distances avec moi.
Et tout en parlant elle s’approcha de lui, presque à quatre pattes sur les coussins qui avait pour effet de dévoilé totalement sa superbe poitrine lourde et ronde.
– Tu n’as donc jamais connu autre femme que ta sœur jumelle ? Tu t’es jamais frotté à un autre corps féminin à la peau douce et parfaite ? Et pourquoi être si gêné ? Tu as peur de quoi finalement ? De la tentation de vouloir goûter à autre chose ? D’aimer cela ? Ou de ne pas savoir dire non ?
Ses lèvres s’approchèrent de son oreille, frôlant sa peau délicatement et tout comme un serpent vous murmurant l’ivresse d’un pêché :
– Qu’est ce qui te retiens enchaîné ? L’amour ? Cette chimère sentimentale alors que t’en as jamais besoin parce que tu es déjà uni à elle par le sang et un même ventre partagé…
Sa longue chevelure caressait son épaule, son torse et son dos.
– Tu as déjà tout eu non ? Enfants… femme conquise… ne veux tu rien conquérir le temps d’un soir ? De goûter à une autre ivresse ?
Sa voix susurrante murmurait comme un serpent sifflant… La tentation avant de se retirer pour se rasseoir à sa place en soupirant profondément. Cachant à peine son agacement face à un comportement de puceau prépubère.
– Mais bon, c’est pas fait pour toi, malheureusement. Tu n’es qu’un puceau dans le fond qui n’a connu qu’une moule et s’y accroche comme à un rocher de peur de dériver !
Elle me demanda ce que je désirais boire, gobelet de liqueur ou du vin bien sucré. J’optais pour le vin bien sucré. Il est vrai que de ce côté-là elle savait bien choisir son alcool et trouvait le meilleur. On ne pouvait lui retirer cette qualité. Je comprends également pourquoi son commerce fonctionne très bien et de plus c’est une Lannister. Juste à notre nom, les gens savent à qui ils ont affaire. Me voilà à moitié dévêtu devant ma cousine. Je peux paraitre par rapport à elle plutôt réservé mais prenons notre temps, non ? Je sentais son regard se posait sur mon torse avec envie. J’ai toujours su qu’elle était attirée par ma personne et qu’elle était en compétition face à Cersei. C’est pour cela qu’il y a autant de rancœur entre les deux femmes. Cersei a gagné mon cœur et mon amour.
Tout coincé et hésitant ? Voilà ce qu’elle vient de me sortir. Je l’ai toujours fait rire, intéressant. Comme on dit « femme qui rit, à moitié dans ton lit ». Enfin pour le coup, c’est plutôt moi qui va finir dans ses draps de soie. Je la regarde, s’approchant de moi, limite à quatre pattes sur les coussins, me dévoilant encore plus sa poitrine lourde et ronde. Je dois bien l’avouer, ce spectacle me plaisait bien mais je ne vais pas lui montrer, du moins pas de suite. Faisons durer le suspense. Elle n’avait pas tort dans ces phrasés. Mise à part Cersei, je n’avais pas eu la chance de toucher d’autres corps féminin. J’aurais pu si j’aurais épousé Lysa Tully. Contrairement à mon frère qui aime se taper un nombre incalculable de catins, ce n’était pas mon cas. J’aimais une seule femme et même si ça peut choqué les gens, c’est Cersei, ma jumelle. Nous avions toujours eu ce lien spécial qui nous unissait. C’est tout jeune qu’on est tombé amoureux l’un de l’autre, me glissant la nuit dans son lit pendant notre adolescence ou inversement. J’ai refusé tout mes titres pour elle, pour rester près d’elle à la capitale. Comment serait ma vie aujourd’hui si tout avait été différent ? Si j’avais fait d’autres choix que celui-là. Avec qui je serais marié aujourd’hui ? Tout ce que je sais c’est que je serais le seigneur de Castral Roc à la place de mon père.
Peur d’aimer ça ? Non je n’avais point peur. Je n’étais pas gêné du moins plus comme il y a quelques minutes. Je commençais vraiment à apprécier l’ambiance et malgré le fait que je n’avais encore rien bu, je commençais à avoir chaud. L’excitation était-il en train de monter ? C’est fort plausible. Elle était désormais à ma hauteur, à quelques centimètres de moi. Elle approcha ses lèvres de mon oreille, frôlant ma peau. Je ne sais pas si c’était le contact de sa peau contre la mienne mais j’eus un frisson qui parcourut tout mon corps. Ses mots au creux de mon oreille me faisait quelque chose c’était certain. Découvrir autre chose le temps d’un soir, d’un nuit ? Bizarrement, je n’étais pas contre. Du moins une partie de moi voulait explorer autre chose, caresser, embrasser, pénétrer un autre corps tandis que l’autre me disait de ne pas céder aux charmes de Dominik. Laissons passer la soirée et nous verrons bien comment elle finira. Elle retourna s’assoir tout en me regardant et soupirant. J’étais certain et encore plus depuis quelques minutes, qu’elle souhaite que je la prenne la entre deux coussins. Chère cousine, la soirée ne fait que commençait, pensais-je. Pas fait pour moi ? Peut-être que oui, peut-être que non. Un puceau ? Certainement pas. Avoir pénétrer une seule moule ? oui certes. Je vins alors près d’elle, mon gobelet de vin sucré en main.
- Alors chère cousine adorée, certes je n’ai eu qu’une femme dans mon lit depuis ma toute première fois. Et comme tu le dis si bien, je n’ai pénétré qu’une seule moule mais je dois bien t’avouer quelque chose, la situation ne me laisse pas indiffèrent et je dois bien avouer que tu me donnes envie. Tu as toujours été très ravissante et ça je ne peux le nier. Et en aucun cas, je n’ai peur d’aller plus loin. Et la soirée ne fait que commencer non ? Voyons comment elle se terminera , lui dis-je en buvant ma boisson absolument délicieuse tout en plongeant mon regard dans le sien.
Blood SupremacyLe sang est la seule chose en ce bas monde qui ne ment jamais... Un jour, j'aurai ce pouvoir... Un jour, ce monde connaîtra mon nom... Un jour, les choses changeront pour de bon...
Dominik écouta à peine son Cousin Germain, non, elle resta juste suspendu à ses lèvres qui s’entrouvrirent pour boire le vin qu’elle avait préparé sur la table elle même… Pauvre homme s’il savait… Elle le scruta avec un grand sourire malicieux… avec un regard pervers et vainqueur.
– Oh mon pauvre petit Jaime… tu n’as donc pas compris pourquoi je n’avais pas touché ni à la liqueur ni au vin ? Enfin… j’ai juste mis dedans un somnifère… tu sais c’est pratique d’être une vipère qui connaît manipuler les plantes et les poisons. Je peux faire ce que je désire quand je le désire… et tu es tombé dans le panneau.
La Fleur Sanglante du Roc caresse du bout des doigts la ligne de sa mâchoire lentement.
– Je ne suis pas une femme patiente ou soumise… j’ai du vécu… j’ai beau être vierge… et lesbienne que je n’ai jamais su m’amuser avec des hommes pour négocier mes achats mon lapinou.
Puis elle se releva paisiblement pour aller regarder à la fenêtre sachant que le somnifère allait faire son effet d’une minute à l’autre. Elle savait bien doser les plantes pour ça. Une fois que son cousin fut HS… Elle l’observa dormir… souriante et le souleva par le dessous de ses bras pour le traîner jusqu’à sa cave. Une fois en bas, elle l’installe sur une table, retire son pantalon et l’attacha solidement avec des liens de cuir.
Elle se mit à caresser son corps sans pudeur… Jaime avait toujours été bien foutu même si son cerveau bien souvent lui faisait défaut, la preuve avec sa sœur jumelle Cersei. Confondant l’union et l’amour de deux jumeaux avec l’amour que l’on peut avoir avec une tierce personne… C’était un peu comme tomber amoureux de son père ou de sa mère. Malsain. Comme ci le monde était trop petit, que l’apocalypse était passée par là, et qu’il n’y avait plus d’homme ou de femme valable pour mariage. Sauf que ce n’était pas le cas à Westeros. Enfin tant que les Marcheurs blancs ne zombifiaient pas tout le monde pour le fun.
Bref… maintenant elle allait le laisser ainsi, et gentiment attendre que le bel homme se réveille. Une belle au bois dormant qui allait avoir une petite démonstration de ce qu’était une vraie femme, pas juste un truc avec lequel on fait de la baise sauvage comme deux chiens à quatre pattes.
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