Bilan d'une arrivée des plus tendue

Des semaines passées… d’innombrables jours à tisser des stratagèmes des plus risqués dans la capitale. Des discussions, certaines officielles, d’autres très officieuses pour placer les pions sur l’échiquier. Tout ceci m’a pris un temps fou… au point que depuis mon arrivée, je n’ai même pas pu consacrer la moindre parcelle de temps libre pour vérifier l’état de ma jeune protégée et surtout, son adaptation à cette nouvelle vie qui a dut bien la changer. Je restais néanmoins assuré durant toutes cette période, qu’elle ne craignait rien étant donné que la principale personne qui aurait pu lui vouloir du mal, avait était totalement indifférente concernant sa présence et son statut dans le Donjon Rouge. Or ma sœur, n’est cependant pas la seule personne dont il faut se méfier dans ce repère de charognard. Tant qu’elle reste éloignée de mon stupide morveux de neveu, elle échappera au pire. Car même si Cersei n’en a cure de ce qu’elle appelle les moutons, Joffrey, lui, se donnerait un malin plaisir de la blesser gratuitement voir pire... si d’aventure elle se retrouvait entre ses petits doigts crochus de roi vicieux.

Je décide ainsi de prendre cette fois-ci le temps d’aller lui rendre visite. J’ai besoin de couper un court instant à toute cette pression omniprésente que ma tâche de Main me procure. Et, quoi de mieux que de converser avec ma charmante et belle fausse cousine. Je l’échangerais volontiers contre la vrai s’il m’en été possible. Aurora a su par le passé apaiser mon esprit lorsqu’il était en proie à des démons intérieurs. Je lui ai promis protection, je me dois de tenir ma promesse que je lui ai faite le fameux soir dans l’auberge. Elle n’a rien de Shae, je m’en suis convaincu depuis, mais mes obligations m’empêchant d’être trop souvent auprès d’elle ont malgré tout, quelque chose de positif pour elle comme pour moi. Elle pourrait potentiellement toucher mon cœur si c’était le cas et cela, je m’y refuse. Non pas qu’elle ne soit pas agréable à regarder voir même à aimer. Les cicatrices et la douleur de ma relation précédente sont bien trop présentes encore pour que je succombe de nouveau a ce sentiment si doux et délicieux qu’est l’amour. Je suis attaché à elle et c’est pourquoi je me dois de le dissimuler à tout le monde ici présent y compris elle, pour sa sécurité et son salut.

J’arrive devant la porte de ses appartements où je l’ai installé depuis notre arrivée. Je sais qu’elle s’y trouve car j’avais ordonné de poster un garde dès qu’elle s’y trouvait. Restons toujours vigilent malgré tout… je connais que trop bien les retournements de veste qui vous attaque dans le dos aussi subitement qu’une envie de pisser. Ned Stark en a perdu sa tête pourtant promis d'aller au mur. Je frappe à la porte et m’annonce :


« Lady Aurora ? c’est votre cousin, Tyrion Lannister qui vient vous rendre visite. Puis-je entrer ? »

Voila déjà de longue semaine que je suis arrivé ici à Port réal, que je suis devenu une Lannister au yeux de tous et bien entendu certaine personnes on vite remarquer la fourberie. Lady Cassandre fut la première de tous, mais elle à étais tellement gentille avec moi que je sais que je peux compter sur elle pour me couvrir aujourd'hui et puis elle connais Lord Tyrion. J'ai aussi rencontrer Lady Margeary qui se doute de quelque chose mais qui pour le moment ne sais rien. Ser Jaime est aussi une rencontre auquel j'aurais redouter mais qui c'est passer sans trop de mal. Il reste enfin Nathaniel le forgeron qui ne fait pas parti de la noblesse mais qui ma sauver la vie un soir et qui à promis d'apprendre à me battre. Je n'ai pas encore eu l'occasion d'en parler à Lord Tyrion, à vrai dire je ne les pas vue depuis déjà pas mal de semaine. J'ai su survivre sans lui bien que au début j'ai eu une certaine peur, je commence à prendre mes marques ici même si je reste méfiante avec certaine personne.

Je me dirige donc dans ma chambre et demande à une de mes servante de me faire couler un bain. Il y'à bien une chose après avoir vécu des choses dans mon ancienne vie c'est de pouvoir se sentir propre et radieuse. Les cicatrices que cette ancienne vie ma fait ne sont plus la mais reste encore présente dans mon esprit tout comme la douleur. Je n’oubliai jamais les années à passer à voir autant d'homme venir me souiller au compte de ma mère et même à l’atroce personne qui m avais graver sur la peau toute sorte de chose. Quand l'eau deviens un peu plus froide je décide de sortir et de me couvrir d'une robe bleu nuit et me dirige vers la coiffeuse et regarde mon visage à travers un miroir. Je ne suis plus la même, je brosse mes long cheveux blond doucement et renvoie ma servante pour la journée. Je suis dans mes pensées quand on frappe à porte et que j'entend la voix de Lord Tyrion je souris enfin il est revenu.

Oui, Lord Tyrion vous pouvez entrer.

Je regarde la porte s'ouvrir doucement et le regarde entrer tranquillement je me tourne vers lui et pause ma brosse sur la petite table.

Lord Tyrion je suis ravie de vous revoir depuis tout ce temps, nous avons bien à discuter vous et moi ?

Je souris, un de mes plus beau sourire surement le premier vrai sourire depuis que je suis ici il est de retour c'est mon sauveur c'est la seul vrai personne en qui j'ai vraiment confiance dans ce château donc oui sa me fait vraiment plaisir de le retrouver.

J’entends sa voix douce et cristalline qui parvient à mes oreilles telle une mélodie qui berce mon cœur.

                          « Oui, Lord Tyrion vous pouvez entrer. »



J’entre en poussant tant bien que mal la grande porte en bois de chêne qui nous sépare. Je l’aperçois, tandis qu’elle brosse sa longue et souple chevelure dorée qui me fascine autant que lors de notre première rencontre. Point de sang cette fois-ci, un ravissement pour mes yeux me donnant place à un rêve éveillé. Elle se lève brusquement, tout en gardant une certaine grâce qu’il lui était propre, signe d’une joie partagée à nos retrouvailles. Ses lèvres s’entrouvrent pour y échapper de nouveau des notes suave et satinée à mes œillères.

« Lord Tyrion je suis ravie de vous revoir depuis tout ce temps, nous avons bien à discuter vous et moi ? »


En effet ma chère… cela faisait un moment que nous n’avions point eu de moment à nous accorder, ma faute… je retrouve les délices enivrant que dévoile sa beauté et ses charmes féminins.
Je lui accorde un sourire avenant et une expression qui se veut chaleureuse. Pour la première fois depuis des semaines, je ressens une plénitude tout entière dans mon esprit sans aucun voile sombre à l’horizon. Et pourtant… quelque chose me tracasse, Aurora a-t-elle réussi à se défiler du moindre ennui ? chose quotidienne en ce lieu où le mal et la perversion ne dort jamais.

« Je suis également ravi Lady Aurora… Lannister »


                      Lui assénant un clin d’œil complice en raison de sa fausse identité. Je lui indique de ma minuscule main la direction du siège en bois qui jouxte une ravissante petite table en ébène noir.


            « Je vous prie, cousine, vous vous sentirez bien mieux assise et vous me procurerez un soulagement immense à mon cou par la même occasion »


                     La tirade se veut légèrement hilarante dans son explicité afin de nous plonger dans une ambiance distractive et sereine.


« Je viens à vous ayant enfin pu obtenir séance libre, afin que vous me fassiez part de comment se passe jusqu’à présent, votre arrivée à la capitale, de mon fait. Parlez sans ambages, je vous prie, que mon temps de repos soit garni de vos récits croustillants. Sachez cependant que je ne savoure aucune histoire la gorge sèche… »

Je suis dans ma chambre en train de me brosser tranquillement les cheveux quand j'entend frapper a la porte et la vois de Lord Tyrion me demande si il peut entrée je souris de suite et lui que oui et je me redresse devant lui et le salut je suis bien contente de le voir je souris tranquillement

« Je suis également ravi Lady Aurora… Lannister »

Bien entendu ce secret entre nous je souris encore plus bien qu'il soit compliqué a tenir je fais de mon mieux pour ne pas le trahir il me montre la direction du siège ou je prend place face à lui. Je ris un peu à sa remarque bien que je sois plus grande que lui la taille n'est pas une importance et le fait de faire de l'humour dessus est tellement lui.


« Je viens à vous ayant enfin pu obtenir séance libre, afin que vous me fassiez part de comment se passe jusqu’à présent, votre arrivée à la capitale, de mon fait. Parlez sans ambages, je vous prie, que mon temps de repos soit garni de vos récits croustillants. Sachez cependant que je ne savoure aucune histoire la gorge sèche… »


Je le regarde et souris avant de me lever et de prendre deux coupe et un pichet de vin et reviens à la place et pause tout sur la table et nous serres tranquillement un verre. Je lui tend tranquillement et boie une gorger du mien.
Je prend une petite inspiration et commence à raconter ma petite vie depuis que je suis ici

Donc Lord Tyrion, j'ai fait la connaissance de certaine personne ici, déjà Lady Margeary qui est très gentille, Votre frère jaime aussi il est loin de ressembler a sa soeur que vous m'aviez parler il est gentil et n'a pas chercher à en savoir plus sur moi...

Je prend une pause car je dois aussi parler de Cassie et de Nathaniel et bien entendu c'est un sujet plus délicat.

J'ai aussi rencontrer Lady Cassandre et mon Lord je n'ai pas pu lui mentir elle à compris toute la vérité j'ai du tout lui raconter mais elle à promis de ne rien dire à personne et je la crois aussi bizarre soit t'il elle ma l'air une personne de confiance.

Je le regarde dans les yeux pour attendre une réaction de sa part je ne souris plus maintenant et je continu

Il y'a une autre personne aussi mais qui ne viens pas du chateau....

Je n'ose pas dire que je suis parti me balader dans les rue de Port réal en pleine nuit je suis un peu honteuse et j'ai peur qu'il me juge mal pour cela.

Elle a saisi mon allusion. Difficile de ne pas la comprendre d’autant plus lorsqu’on connaît ma réputation. Elle s’emploie à nous servir rapidement et à s’installer à nouveau devant moi pour me faire part de son récit sans cacher une certaine appréhension qui se lit sur son visage. Je reste néanmoins discret là-dessus et décide de l’écouter sans émettre le moindre commentaire.


« Donc Lord Tyrion, j'ai fait la connaissance de certaine personne ici, déjà Lady Margeary qui est très gentille, Votre frère Jaime aussi il est loin de ressembler à sa soeur que vous m'aviez parler il est gentil et n'a pas chercher à en savoir plus sur moi... »


Pas étonnant… puisque j’ai sommé à mon frère de ne point aborder le sujet avec elle alors que je lui ai déjà dit la vérité. Je n’ai aucun secret pour lui, et son retour nous a valu de nombreuses révélations entre nous.

« Concernant Lady Margaery, elle est en effet une personne aimable et bienveillante. Restez sur vos gardes malgré tout, Lady Aurora, la compassion et la gentillesse peuvent être des moyens bien avisés pour soutirer des aveux de toute part. Jouer la carte de l’amie providentielle serait utile pour vous mettre en confiance et laisser échapper quelque chose dont vous ne vouliez pas que ça se sache. »


Je lui fais signe de continuer d’un simple coup d’œil avenant. Je pressens comme une tension palpable qui monte crescendo et cela ne me rassure guère.


« J'ai aussi rencontré Lady Cassandre et mon Lord je n'ai pas pu lui mentir elle à compris toute la vérité j'ai du tout lui raconter mais elle a promis de ne rien dire à personne et… je la crois… aussi bizarre soit t'il… elle m’a l'air une personne de confiance. »


« J’ai rencontré Lady Cassandre par le passé, du moins un autre passé… c’est une femme intéressante et très cultivé. Nous nous sommes entichés d’une amitié sincère elle et moi. J’irais malgré tout lui rendre visite très rapidement afin de constater que sa promesse est réelle. Cela ne m’étonne pas qu’elle ait découvert le pot au rose, elle est douée d’un esprit vif et observateur, de plus sa connaissance sur les lignées familiales a du forcément jouer lorsqu’elle a appris votre identité. Vaut mieux elle que le roi cela dit. »


Je pense avoir fait le tour du sujet avec elle lorsqu’elle assombrit davantage son visage et déclare :


« Il y'a une autre personne aussi mais qui ne viens pas du château.... »


Mon expression devient moins chaleureuse et se mue en un regard inquisiteur et suspicieux. Je porte ma coupe à ma bouche comme pour me préparer à un choc imminent. Je ne prends cette fois-ci pas la peine de lui laisser le temps de réfléchir à comment me balancer la suite qui semble, au vu de la honte qui couvre son visage, les aveux d’une jeune fille qui à mal agit et qui regarde son père.

« Etrange que cela… ma lady… comment pourriez-vous avoir rencontré une personne qui ne vit pas au château si vous-même n’en êtes jamais sortis ? j’attends quelconque explication sur un tel phénomène et pourquoi vous me le dites avec tant d’appréhension ? je vous écoute… »


Je tente de ne pas paraitre trop sévère sur mon visage, ni trop inquiet bien que je le sois. Mais je souhaite savoir au plus vite le fin mot de cette histoire et la brusquer n’arrangerait rien.

Quel plaisir de retrouver Lord Tyrion, j'avais vraiment de le revoir et de parler de tout se qu'il à pu se passer depuis mon arrivé dans le château, après nous avoir servi à boire je commence par lui raconter le début de mes aventure.

« Concernant Lady Margaery, elle est en effet une personne aimable et bienveillante. Restez sur vos gardes malgré tout, Lady Aurora, la compassion et la gentillesse peuvent être des moyens bien avisés pour soutirer des aveux de toute part. Jouer la carte de l’amie providentielle serait utile pour vous mettre en confiance et laisser échapper quelque chose dont vous ne vouliez pas que ça se sache. »

Je fait un signe de la tète il à raison, j'ai toujours un peu un manque de confiance avec elle et je dois faire attention à ce que je dit. je lui parle ensuite de Lay Cassandre.

« J’ai rencontré Lady Cassandre par le passé, du moins un autre passé… c’est une femme intéressante et très cultivé. Nous nous sommes entichés d’une amitié sincère elle et moi. J’irais malgré tout lui rendre visite très rapidement afin de constater que sa promesse est réelle. Cela ne m’étonne pas qu’elle ait découvert le pot au rose, elle est douée d’un esprit vif et observateur, de plus sa connaissance sur les lignées familiales a du forcément jouer lorsqu’elle a appris votre identité. Vaut mieux elle que le roi cela dit. »


Oui Lors Tyrion, elle est très forte et je n'ai rien pu faire. Mais je l'apprécie beaucoup et je compte passer du temps auprès d'elle ici pour ne pas rester seule.

Bien entendu je ne veux pas rester seule j'ai besoin d'amie et de confident et Lady Cassie en ferra parti. Et enfin je lui parle de l'autre personne que j'ai rencontré et la j'hésite un peu à vrai dire je ne sais pas comment il va le prendre.


« Étrange que cela… ma lady… comment pourriez-vous avoir rencontré une personne qui ne vit pas au château si vous-même n’en êtes jamais sortis ? j’attends quelconque explication sur un tel phénomène et pourquoi vous me le dites avec tant d’appréhension ? je vous écoute… »


Je prend mon souffle et évite son regard qui me scrute donc je regarde le sol et bois une gorger de vin avant de commencer à parler

Justement je suis sorti du château un soir, j'avais besoin de prendre l'air je suis aller au bord de la mer et je n'ai pas vu le temps passer.... Quand je suis revenu sur mon chemin je suis tomber sur des hommes totalement ivre qui sortais d'une taverne et qui on voulu abuser de moi.

Je le regarde de nouveau pour remarquer son visage et continu mon discours.

Un homme ma sauver la vie, il est gentil et il un franc parler comme personne le fait ici et j'aime beaucoup il s'appelle Nathaniel et il est forgeron.

Je bois de nouveau et attend la suite, je me doute que il va pas bien le prendre et va me faire un long discours sur sécurité mais je sais que je dois passer par la.

Je l’écoute avec grande attention me narrer le récit de son aventure nocturne en dehors du Donjon rouge tout en faisant tourner le vin dans ma coupe que je berce de plus en plus nerveusement. Je devrais exprimer de la colère, elle a désobéi à mes conseils et à risquer sa vie. Mais à ma grande surprise ce fut une profonde inquiétude qui accompagna ses révélations dont elle me faisait part avec une certaine honte. Son discours terminé, je lui pose délicatement ma minuscule main au doigts boudinés, sur la sienne. Son visage scrutant le sol marbré de sa chambre en signe d’embarrassement se relève aussi sec pour y plonger ses prunelles émeraude larmoyantes dans mes minuscules billes vaironnes. D’une voix douce et calme, cachant l’immense frayeur qui brûle en moi, je lui déclare :

« Vous savoir saine et sauve devant moi aujourd’hui emplit mon cœur de joie, Lady Aurora. J’espère de tout cœur que cette expérience néfaste au dehors du Donjon, vous auras permis de constater que mes propos avertis, étaient fondés. Je gage que vous ne recommencerais plus. Sachez, ma douce, que d’apprendre un malheur vous arriver, me déchirerait le cœur. Je vous ai promis votre sécurité, et je me rends compte que ma trop longue absence a eu raison de cela. Je m’en excuse et, veillerais à ce que par la suite, vous ne vous retrouviez plus dans une telle situation. Mon attachement pour vous est profond… n’en doutez jamais. Même si ma faible présence pourrait vous en faire ressentir le contraire. »


Je tapote sa douce main de la mienne et reprend ma position initiale. Mon regard se veut chaleureux à son encontre, et bienveillant. Cependant il s’assombrit lorsqu’une pensée me vient des suites de l’analyse de ses précédents propos. Comme un éclair de pensée, j’affiche une bouche légèrement bée gardant ma coupe de vin en suspension en dessous de mon menton, et dit:

« Vous avez dit Nathaniel ? un forgeron ? dites m’en plus sur lui, je vous prie, ma Lady »

Je ne suis pas à l'aise à raconter mon aventure dans Port réal auquel j'aurais pu mourir si je n'avais pas fait la rencontre de Nathaniel. Je fuis un peu sont regard car j'ai pas envie de le décevoir mais le mal est déjà fait et je ne lui cache rien du tout. Mais à mon plus grand étonnement il me répond par une voix bien calme.

« Vous savoir saine et sauve devant moi aujourd’hui emplit mon cœur de joie, Lady Aurora. J’espère de tout cœur que cette expérience néfaste au dehors du Donjon, vous auras permis de constater que mes propos avertis, étaient fondés. Je gage que vous ne recommencerais plus. Sachez, ma douce, que d’apprendre un malheur vous arriver, me déchirerait le cœur. Je vous ai promis votre sécurité, et je me rends compte que ma trop longue absence a eu raison de cela. Je m’en excuse et, veillerais à ce que par la suite, vous ne vous retrouviez plus dans une telle situation. Mon attachement pour vous est profond… n’en doutez jamais. Même si ma faible présence pourrait vous en faire ressentir le contraire. »

Je soupire un peu est le regarde de nouveau dans les yeux et hoche la tète.

Non Lord Tyrion il n'à rien a excuser je n'aurai pas du je suis sotte par moment, mais il est vrai que je tourner un peu en rond mais je ne vous en veux pas du tout comment je pourrais vous en vouloir.

Je regarde de nouveau le sol et rougit un peu, bien entendu j'ai un total respect pour lui et je sais maintenant la réputation qu'il à ici j'ai entendu parler les gens de lui mais moi je ne le voix pas ainsi et ne le verrais jamais. Quand il me demande de parler de Nathaniel je le regarde de nouveau.

Bien il est en ville, il forge des armes et elle sont vraiment magnifique après je n'ai pas encore eu le plaisir de le revoir. Il doit apprendre à me battre.

J'ai osé l'avouer je ne suis pas sur que il apprécie mais en même temps c'est moi qui lui est demander et j'ai envie depuis ma tendre enfance d'apprendre à me battre.

Tant d’innocence dans sa voix me réchauffe le cœur. J’ai beau avoir croisé de nombreuses femmes ces dernières semaine aux charmes ravageurs, la beauté pure que dégage Aurora reste celle dont je me languis chaque fois qu’elle se présente à moi. Mon rôle cependant dans cette histoire, n’est pas d’avoir de secrètes pensées enjoliveuses mais juste de veiller à sa protection. Et lui avouer tous ces sentiments, la plongerait très certainement dans un malaise gênant et risquerait sa sécurité par la même occasion. Quand on sait de quoi sont capable certaines personnes vivant en ces murs…
Ce Nathaniel me dit quelque chose, il colle trait pour trait au délirant petit forgeron que j’eu croisé par hasard à Volanthis durant mon ancienne vie. Qu’importe je me renseignerais et irais le féliciter voire le récompenser pour son geste héroïque.

        En revanche, apprendre que celui-ci compte lui apprendre les rudiments du combat ne me plait guère. Aurora use de nouveau de naïveté, qui à sa décharge est louable quand on sait d’où elle est revenue. Je tente de dissimuler ma dénégation, à la suite de ces derniers aveux honnêtes de sa part. mon esprit se chagrine à l’idée de la discussion dont j’avais l’intention d’ouvrir, depuis un moment maintenant.


« Apprendre à vous défendre je le conçois, bien que j’aie mis à votre disposition, suffisamment de gardes pour se charger de celle-ci. Mais de là apprendre à combattre… j’avoue ne point saisir, et cela me plonge de nouveau dans une profonde inquiétude. Je vous prie ma Lady, de ne point risquer votre vie de quelconques façons aussi louables soient-elles. »


Je décide de boire de nouveau car la suite de mon discours s’annoncerait bien plus délicat.


« Ma douce Aurora, j’ai une question qui va vous paraître étrange et quelque peu démente. Je vous prie de la considérer avec tout le sérieux qu’il vous ait possible de détenir. C’est assez délicat à vrai dire alors je vais faire droit au but. Et surtout ne vous posez aucune question, ce n’est pas un piège, je compte sur votre entière probité qui me plaît tant chez vous. »


Une nervosité s’empare de moi à ce moment précis et mon regard trahis ce sentiment quand je la fixe droit dans les yeux et lui demande :


« Avez-vous quelconques souvenirs… ou mémoire de fait passé. Avez-vous déjà ressenti comme un sentiment de déjà-vu comme si vous viviez de nouveau des événements passés d’une ancienne vie ? »

Je lui est tout avouer maintenant et me sens un peu plus à l'aise même si j'ai commis une faute et que je n'aurai pas du. Avec du recul je m'en rend bien compte mais on ne peu pas revenir en arrière et avec tout ce que j'ai vécu je suis bien placer pour le savoir. Je le regarde de nouveau quand il prend enfin la parole.

« Apprendre à vous défendre je le conçois, bien que j’aie mis à votre disposition, suffisamment de gardes pour se charger de celle-ci. Mais de là apprendre à combattre… j’avoue ne point saisir, et cela me plonge de nouveau dans une profonde inquiétude. Je vous prie ma Lady, de ne point risquer votre vie de quelconques façons aussi louables soient-elles. »

Lord Tyrion je suis totalement d'accord avec vos paroles, mais excuser moi d'insisté avec tout se que j'ai vécu une parti de moi même à besoin justement d'apprendre à me défendre. je ne veux prendre aucun risque justement si je lui est demandé c'est que j'ai confiance en Nathaniel.

Je soupire et me lève et commence à me diriger vers la fenêtre et me tourne vers lui pour le regarder de nouveau.

« Ma douce Aurora, j’ai une question qui va vous paraître étrange et quelque peu démente. Je vous prie de la considérer avec tout le sérieux qu’il vous ait possible de détenir. C’est assez délicat à vrai dire alors je vais faire droit au but. Et surtout ne vous posez aucune question, ce n’est pas un piège, je compte sur votre entière probité qui me plaît tant chez vous. »

Je le regarde avec une inquiétude dans le regard et m'approche doucement de lui sans le quitter du regard pour autant

Je vous écoute.


« Avez-vous quelconques souvenirs… ou mémoire de fait passé. Avez-vous déjà ressenti comme un sentiment de déjà-vu comme si vous viviez de nouveau des événements passés d’une ancienne vie ? »


Je croise sont regard et croise le les bras avant de lui tourner le dos.

Lord Tyrion vous savez bien se que j'ai commis se que ma mère ma fait et tout se que mon corps a commis pourtant aucune preuve se trouve sur mon corps pourquoi à votre avis ?

Je le regarde de nouveau avec des petite larmes qui coule doucement.

Je le crois mais j'en suis même sur de cela, mon corps à tellement subit que mon corps ne serai pas le même aujourd'hui, les viol.....sont une chose...

Je tremble un peu au souvenir d'un homme, le bourreau elle ne la pas oublier mais avais essayer de ne pas se souvenir de lui.

Je suis tomber sur un homme bien pire que les autres une fois, Il devais m'aider mais bien entendu il à jouer avec moi et le viol à coté de lui était bien plus une torture douce. j'ai eu le corps lacérer, trancher, brûler....

Je me rend compte que je pleure encore un peu plus maintenant mais il doit savoir à lui je ne peu rien cacher je continu donc.

Il ma même marquer, son nom sur ma poitrine .... Donc Lord Tyrion pour moi une ancienne vie est totalement vrai et je pense que la nouvelle est une bénédiction pour moi une nouvelle chance ... même si j'ai tuer ma mère, je ne regrette pas mon geste et le referai si il le faut.

Je tombe sur mon lit et m’effondre en larmes de parler de cela est toujours compliquer pour moi même si j'ai eu la chance de tomber sur lui mon sauveur et d'avoir perdu les marques sur mon corps je n'oublie rien et tout est encore présent dans ma mémoire et par moment cela fait très mal que je ne peux pas contrôler.

« Lord Tyrion je suis totalement d'accord avec vos paroles, mais excuser moi d'insisté avec tout ce que j'ai vécu une partie de moi-même à besoin justement d'apprendre à me défendre. Je ne veux prendre aucun risque justement si je lui ai demandé c'est que j'ai confiance en Nathaniel. »

Elle n’a pas tout à fait tort, mais l’imaginer une arme à la main et risquer sa vie m’est insupportable. Du moins en ces lieux, ce serait bien trop risqué. Une idée me vient en tête mais elle est rapidement mise à la cave parmi les infinis idées que j’ai empilé depuis mon réveil jusqu’à ce jour. Ma tendre amie et protégée réagit tristement à la question délicate que je viens de lui poser. Elle me fait part, dans un aveu des plus cinglants, de ce qu’elle a enduré. Je ne connaissais point les détails, j’avais deviné certaines choses le soir où nous étions dans cette auberge sur la route royale. Je ne m’attendais pas à tant d’horreur…


« Je suis tombé sur un homme bien pire que les autres une fois, Il devait m'aider mais bien entendu il à jouer avec moi et le viol à coté de lui était bien plus une torture douce. J'ai eu le corps lacérer, trancher, brûler.... »

Mon désarroi est total tandis qu’elle se perd dans ces souvenirs effroyables. Ma haine envers ces inconnus qui ont abusé de sa fragilité, de sa féminité, de sa condition, croît d’un degré encore jamais ressenti dans ma vie malgré les nombreux sévices dont on m’a fait subir. Mon histoire à coté de la sienne sonne d’une douceur amère. À ce moment précis, je voulais retrouver l’homme qui lui a fait vivre ce calvaire indécent, et lui payer le double, le triple, le quintuple de ce qu’il a commis. Quel monstre pourrait-il faire de telle chose à une si innocente et gentille personne. Aurora incarne pour moi une légèreté, une brise au milieu de ces vents tourmentés qu’est mon quotidien. Si le mot pureté n’existait pas, on le définirait par le terme Aurora. Elle ne peut contenir ses larmes plus longtemps, accusant le coup de toutes ces années de peine et de souffrance. En effet elle ne porte aucune marque à ce jour, de part son retour en arrière, comme moi ayant perdu cette cicatrice sur le visage, nous les ressentons malgré tout dans notre âme. Elle s’effondre sur le lit, la honte et le désespoir la rongeant de nouveau comme cette nuit-là sur la route. Ses blessures passées redevenues à vif, la consommant dans son chagrin. Mon esprit ne calcule plus rien à ce moment précis, comme si un autre homme me contrôlait d’un ensorcellement vaudou, je m’approche d’elle tandis qu’elle plonge son regard larmoyant dans le mien. Ma volonté s’oublie, je ne suis que l’homme accablé et blessé par son malheur. Je tends ma main vers sa joue tout en approchant mes yeux des siens à quelques centimètres à peine, lui témoignant cette peine que je partage avec elle dans mon expressions, je caresse tendrement sa joue trempée de larmes pour l’y sécher et la consoler. Je ne suis que l’homme épris et touché par sa grâce et sa beauté. Dans un chuchotement presque inaudible, tandis que nos nez se frôlent, je lui confis :

« Vous ne souffrirez plus… j’y veillerais, par tous les dieux existant en cette terre et par mon âme, je vous le promets… »

Sans même en avoir eu le temps de le réaliser, d’y avoir réfléchis, et dans un éclair plus bref que celui du tonnerre, mes lèvres émettent une légère caresse aux siennes… la seconde juste après, je m'en excuse déjà...

Une ancienne vie, bien entendu que j'en ai une et bien entendu mon envie d'apprendre à me défendre viens de cette ancienne vie. La seule chose qui me manque de mon ancienne vie et mon défend père qui est mort aussi tristement que stupidement si je n'avais pas voulu rester dans cette foret par un temps d'orage. Bien que je m'en veuille encore à se sujet le plus douloureux arrive quand mon sauveur me demande demande si j ai eu un vécu d'ancienne vie.

Je lui raconte enfin la vérité les années passer à me faire violer et torturer et surtout à parler de l'homme qui a fait bien plus et qui à détruit mon corps cette nuit la sans me violer mais ces agissement était encore bien pire et je ne les oublier jamais. Même si mon corps à supprimer les marques, mon esprit n'oublie rien.

Plus je raconte mon histoire plus je fond en larmes tellement me souvenir est horrible je tombe enfin sur le lit et pleure pour de bon on dis que pleurer par moment fait du bien je laisse évacuer le tout sa fait longtemps que je n'ai pas craquer ainsi. Soudain mon sauveur s'approche de moi je me redresse un peu et mon regard plein de larmes tombe dans le siens et sa main caresse doucement ma joue. Il sèche mes larmes et je ne peux pas regarder ailleurs autant le geste peut être innocent et juste réconfortant mais pour moi il veux dire plus. Il me chuchote ensuite :

« Vous ne souffrirez plus… j’y veillerais, par tous les dieux existant en cette terre et par mon âme, je vous le promets… »


Une promesse, je veux bien y croire mais soudain totalement figée je sens ces lèvres venir comme une caresse contre les mienne. Ce n'est pas grand chose et il s'en excuse déjà et recule d'ailleurs je ne dit rien et je sens mes joue devenir rouge. De la honte, non juste gênée et un peu perdu. La discutions dans l'auberge me reviens en tète et je comprend enfin. Je tourne le regard ailleurs et attend qu'il reprenne la parole sans rien dire.

 

Le malaise… il est immense et tord mes entrailles au point que je me retrouve légèrement replié sur moi-même. Dès l’instant où je m’aperçus de mon geste qui balayait toutes les limites que je m’étais fixé envers elle, je me relevai et m’éloignai de quelque pas, lui tournant le dos. Je ne peux me retourner, la regarder, être de nouveau frappé par ses yeux envoûtants et ne plus répondre de mes actes. Ce baiser, si on peut appeler cela ainsi tant nos lèvres s’étaient plus précisément frôlées, me plonge dans un profond désarroi. J’ai été trahis… non pas par Aurora, non pas par la situation, mais par mon propre chef. Le désir et l’attirance ont eu raison de moi. Ce sentiment, si longtemps enfouis, enterré au plus profond de moi, recouvert par des mensonges, des faux-semblants et une impassibilité exemplaire. Je viens de tout balayer d’une simple caresse de ma bouche contre la sienne. Que vais-je faire maintenant ? j’ai trahi tous mes principes, tout ce dont j’avais mis en place entre elle et moi. Où étais-tu le spectre de Shae, pour réduire à néant cette tentation passionnelle? oublié…

                Que doit-elle penser ? de l’aversion sans doute, du mépris voire de la défiance. Je lui avais exposé une personne honnête et loin de correspondre à l’image qu’elle s’était si rationnellement donné des hommes. Je suis probablement devenu l’un d’entre eux par ce geste déplacé, ne dégageant qu'envie et désir malsain. Je me dois de rétablir la situation, de ne point perdre sa confiance si ardument gagné et de la rassurer concernant mes intentions à son égard. Je me tourne vers elle, l’expression d’un jeune garçon idiot accentuée par mon regard intimidé et confus. Elle mire par sa fenêtre, elle semble elle-même confuse et troublée. Répare tes conneries triple buse !!! me dis-je. Je prends une profonde inspiration et tue cette gêne silncieuse d’une voix accablée de pudeur et de repentis :


« Je vous prie sincèrement d’excuser cet acte incongru bafouant votre intimité et le respect au combien grand que je vous porte. »

La situation m’est insupportable je dois de rompre ce silence ambigu et faire oublier au plus vite ce qu’il vient de se commettre.


« Je ne suis pas venu que pour m’entretenir au sujet de votre intégration »

Mes entrailles me font souffrir de nouveau. Mais cette fois-ci, pas pour ce que je venais de réaliser, mais par ce que je m’accorde à lui révéler :


« A dire vrai, j’aurais une charge de la plus haute importance à vous confier. Vous êtes la seule à pouvoir en qui j’ai confiance pour l’y réaliser »

       Je la contemple dans son immense innocence et pureté attractive, et enfouis de nouveau, ces sentiments embrasés au plus profond de mon cœur.

La situation est devenu bizarre dans cette chambre, elle est passer de joyeuse à triste pour devenir embarrassante en même pas 20 minutes de temps, je lui est encore parler de mon passée en lui dévoilant bien plus de chose que la première fois. Je tombe en larmes et il est encore venu me consoler mais cette fois son geste me prend au dépourvu et il viens me faire un baiser.

Il à juste effleurer mes lèvres, mais c'est vraiment énorme pour faire devenir la situation des plus embarrassante car je repense à notre conversation à l'auberge et il m'a bien fait comprendre certaine chose qui n'était pas possible. Je les ai comprise même si je ne les partager pas vraiment. Je baisse la tète et regarde le sol doucement il se passe du temps ou le silence règne dans cette chambre on pourrais entendre une mouche volet dans la pièce. Je voudrais avoir des réponse mais je n'ose pas prendre la parole moi même. Quand enfin il le fait lui même


« Je vous prie sincèrement d’excuser cet acte incongru bafouant votre intimité et le respect au combien grand que je vous porte. »

Je n'ose toujours rien dire mais je le regarde dans les yeux et mes joues devienne rouge mais pourquoi avec lui je réagit ainsi je pense savoir mais je n'ose encore pas me l'avouer.

« Je ne suis pas venu que pour m’entretenir au sujet de votre intégration »

Il change de sujet et je pense que il vaux mieux que sa se passe ainsi pour le moment.

« A dire vrai, j’aurais une charge de la plus haute importance à vous confier. Vous êtes la seule à pouvoir en qui j’ai confiance pour l’y réaliser »

Je me redresse et le regarde avec des yeux rond

Une charge ?

le fait qu'il disent qu il a confiance en moi me réchauffe le cœur et je souris un peu ?

Je serai ravie de l’honorer Lord Tyrion

 

Je la regarde… répondant à son air circonspect par un léger sourire masquant toute l’amertume ressentis par les futurs mots que je vais lui prononcer. Sa sécurité, sa sauvegarde, sa survie… tant de raison qui me pousse à l’éloigner de moi, et pourtant, mon cœur s’y refuse. La fatalité une fois de plus s’empare de mon esprit. Shae revient de nouveau me hanter. Mais elle n’est pas Shae… bien plus pure, bien plus sage, bien plus belle…
Je ressens une puissante colère à mon encontre. Comment peux-tu, imbécile de nabot que tu es, imaginer une seule seconde que ce si beau bijou n’ait la moindre envi de toi de cette façon. Elle m’a embrassé ce soir-là… me réponds-je à moi-même, comme pour ouvrir un débat des plus disputés entre ma tête et mon cœur. Chacun dévoilant à tour de rôle, un nouvel argument pour soit la repousser, soit au contraire, me perdre et m’oublier auprès d’elle, contre elle…
Mon cœur a beau avoir combattu avec brio, le fantôme de Shae fut l’élément qui provoqua la victoire de mon esprit sur mes sentiments. Ainsi tout en délicatesse alors qu’elle me répond avec ce sourire si ingénue et tendre, que se serait un honneur de me servir, je lui pose ma main sur la sienne et, combattant cette gorge qui m’enserre pour ne point me laisser sortir la parole, je lui dis d’un air étouffé :


« Je dois vous faire quitter la capitale… du moins le temps d’un voyage chère Aurora. »

La bombe est lâchée… et je m’attends à ce que dans la seconde qui suit, son si enjoliveur sourire disparaisse. Sans même lui laisser le temps, comme pour ralentir la venue de ce mauvais moment à supporter, je lui ajoute :


« Vous allez devoir partir pour Dorne, au Sud. En conséquence à ce qui se trame d’ici les prochains jours, je vous y envoi pour votre propre sécurité. J’y ai des amis fidèles là-bas. Mais encore, vous devrez prendre contact avec certain d’entre eux pour leurs délivrer un message de la plus haute importance et, ce qui va sans dire, de la plus extrême discrétion. »

Le silence est redevenu maître des lieux. Pour ne point l’accabler, je décide de lui laisser le soin de le briser après qu’elle ait finit de comprendre et de digérer, cette imprévisible nouvelle qui va changer radicalement son quotidien. Je lui avait fait cette promesse… je serais toujours auprès de vous pour vous sauver du mal et veiller à votre sécurité… D’une façon ou d’une autre, je rompais cette promesse pour à la fois l’honorer.