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The nightmare continues Feat Ramsay (-18 violence)

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(#) Sam 25 Mai 2019 - 14:09
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The nightmare continues.
Enfermé dans la grange depuis des semaines, peu de lumière. Je suis sur le foin ma tète repose sur mon bras, la douleur est encore belle et bien présente des dernière visite que j'ai eu. Les larmes ne coule plus, elle ont trop coulée maintenant je veux juste la mort. Comment ma mère bien que elle ne m'aime pas à pu aller jusqu’à me vendre à des hommes.

Je pense à mon père chéri, lui qui était la pour me protéger qui m'expliquer toujours tout se que je devais savoir, pourquoi les dieux on décidait de me retirer se bonheur et de me laisser ici à mourir dans de grande souffrance.

Sa dure depuis maintenant depuis 1 an, peu de nourriture et les hommes vienne et parte ma mère me sert de prostituée à son titre de gagnée un peu d'or. J'ai pris l'habitude des coup de la douleur et des marques. Bien que au début j'essayer en vain de me débattre, j'ai appris avec la douleur qu'il vaut mieux prendre en silence et pleurer sur sont triste sort et attendre la mort si elle décide à venir un jour.

Un bruit retiens mon attention je me redresse et grimace de douleur, me lève j'entend ma mère hurler, et les bruits se rapproche plus de moi. Je me lève et me cache dans un coins, la porte s'ouvre et laisse la lumière traverser la pièce et me fait mal au yeux je me cache le visage et je peux distinguer un homme bien étrange. s'approcher. Je ne dit rien et attend je vais peur être sauver....  
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(#) Dim 26 Mai 2019 - 2:09
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The nightmare continue
La chevauché jusqu’à Port-Réal était longue et Ramsay ne savait même pas pourquoi son père le voulait en tant que représentant de la famille Bolton. Tout le monde savait qu’il était un bâtard même s’il portait l’emblème de la famille, qu’il vivait à Fort-Terreur et qu’il côtoyait son père de la même manière qu’un héritier côtoyait son père pour apprendre à devenir Lord. Bien qu’il avait promis à son paternel de ne pas faire d’esclandre au mariage royal s’il se faisait insulté, le bâtard de Fort-Terreur savait qu’il avait besoin de se défouler un peu avant d’arriver dans la Capitale. Il rêvait de sang, de viscères, de tripes et de sexe à profusion. Il dût dire cette dernière pensée à voix haute puisque l’un de ses hommes lui parla d’une femme dans les Conflans qui avait prostituait sa fille et qui restait totalement aveugle à ce qu’on pouvait lui faire subir, tout dépendant du prix qu’on y mettait. Ramsay n’avait pas hésité plus qu’une minute avant d’ordonner un petit détour vers la fameuse maisonnette, se promettant de se défouler de toutes ses tensions avant d’arriver à Port-Réal.


Effectivement, la maison fut facile à trouver et la femme qui l’accueilli devint d’une hospitalité affable lorsqu’elle vit l’énorme bourse qui pendait à la ceinture de Ramsay. Patiemment, il l’entendit vanter les mérites de sa fille comme si elle était une pouliche de luxe tout en l’observant. On était loin du portrait de la mère aimante qui prostituait sa fille pour nourrir la famille, ça semblait beaucoup plus personnel. Sans se départir de son sourire intéressé, Ramsay s’avança vers la mère de famille et la plaqua contre le mur de bois de la maison. « Intéressant tout ceci…j’espère pour toi que la gamine sera à la hauteur des promesses que tu m’as faite » Susurra-t-il en sortant l’un de ses poignards. « Tenez-la pour que ses pieds ne touchent pas le sol » Ordonna t-il à deux de ses hommes qui s’empressèrent de lui obéir. Les gémissements de la femme ainsi que ses supplications retentirent dans toute la maison alors que Ramsay se rapprochait d’elle, un sourire démoniaque illuminait son beau visage. Jouant avec le premier de ses poignards, il regarda la mère de famille quelques instants avant de le planter avec force en plein dans son pli du coude droit. Le hurlement qui sortit de la gorge de la captive fit rire Ramsay alors qu’il remua la lame avec délice, adorant entendre le bruit de l’os qui s’effritait encore et encore sous la lame de son arme. « Voilà ce qu’on va faire, vieille dame… » Commença-t-il à dire avant de sortir un deuxième poignard de son fourreau avant de lui caresser le visage avec. « …nous allons jouer à un jeu. Si je fais couiner votre fille avant que votre corps ne s’effondre au sol parce que votre poids aura fait se trancher vos membres, je vous laisse la vie sauve…sinon, et bien vous serez capable de vous nourrir sans vos bras  » Continua Ramsay d’une voix ronronnante avant de planter son second poignard dans le pli du coude gauche de la femme cette fois-ci.  


Sans demander l’autorisation de l’homme à ses côtés, il se saisit de sa lance et se mordit la lèvre inférieure, indécis. « Déshabillez-là et écartez-lui les cuisses » Ordonna-t-il en plantant le pique de la lance dans l’un des genoux de la marâtre. L’homme à qui il avait dérobé la lance s’empressa d’obéir à son ordre et fendit la robe de la pointe de son épée. « Relâchez-la » Ordonna de nouveau Ramsay d’une voix avide, empressé de voir si le corps tiendrait. Pour tenir, il tenait, à quelques mètres au-dessus du sol. Le sang souillait la peau de la femme alors que son visage barbouillé de larme devenait plus cireux. « Faites-lui subir les mêmes plaisirs qu’elle offre à sa fille, montrez-lui la vigueur des hommes du Nord et si son con fend…et bien tant pis » Lança joyeusement Ramsay en sortant de la maison pour aller à la petite grange que lui avait désigné la mère.


Il faisait sombre et humide. Des hommes payaient vraiment pour se faire la fille d’une femme quelconque dans le foin humide d’une grange miteuse? Ramsay se doutait bien que les bordels n’étaient pas monnaie courante dans cette partie-ci, mais tout de même…une satanée grange! « Ma Dame? Vous êtes là? » Demanda-t-il doucement en entrant, se disant que le petit jeu qu’il avait joué avec la mère lui avait ouvert l’appétit pour un peu plus de torture. Pourquoi ne pas commencer par allumer un peu l’espoir dans le pauvre cœur meurtri de cette jeune femme? Il n’y avait rien de mieux que de raviver un espoir éteint chez un autre être humain pour ensuite le détruire encore et encore. « J’ai chevauché sans relâche depuis des semaines pour vous trouver, ma Dame. Dès que j’ai entendu votre histoire, je me suis dit que je devais vous porter secours, vous libérer de cet enfer…sortez, s’il-vous-plait » Murmura-t-il d’une voix chaude en marchant avec précaution dans les ténèbres, cherchant à repérer un mouvement, un bruit de respiration saccadée ou un halètement de peur. Ramsay était un fin chasseur, il était terriblement difficile à duper et ce n’était certainement pas une jeune fille servant de pute qui parviendrait à être le gibier qui le tromperait. « Il faut faire vite, ma Dame » La pressa-t-il un peu, mais toujours avec douceur. Il avait bien hâte de voir pour qui il se donnait tout ce mal.  




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(#) Dim 26 Mai 2019 - 21:59
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The nightmare continues.
Je regarde le plafond de la grange bien que je ne voie rien ou enfin un semblant de lumière, je reste la à fixer un point en attendant un autre bourreau de ma mère qui aller me passer sur le corps. Alors que les plaie et douleur du dernier en date commence seulement à partir.

Je m'évade dans une pensée d'une autre vie ou je serai dans les champs à fabriquer ma propre vigne à profiter de l'air frais et du soleil sur moi qui me caresse la peau avec un mari et des enfants qui j'aimerai vraiment. Mais bien entendu cette pensée n'est pas pour moi. Je commence à croire à la mort de plus en plus et que le destin et les dieux le veulent pour moi.

Je suis surprise par un grand cris qui éclate dans la grange, celui de ma mère et il n'est pas de plaisir, c'est un bien un crie de douleur, je me redresse et me cache un peu peu être que par chance on pourrais la tuer et pas me trouver. Je peux entendre que plusieurs personne se trouve ici des hommes. Je passe ma tète entre mes jambes coincer dans le coin de la grange qui ne cache pas grand chose de moi. Mais je prend le risque d'essayer et de croire que tout est possible. Elle souffre enfin peut être que tout peu arriver.

Enfin la porte de la grange s'ouvre, la lumière me fait mal au yeux je passe ma main sur les yeux il me faut au moins une bonne minutes pour que mes yeux retrouve la même visibilité et je tombe sur un homme devant moi. Il n'a rien à voir avec ceux qui vienne d'habitude, il est plus beau, bien habiller, coiffer, on dirais un noble. Il n'a pas l'air de venir du Conflans et ne ressemble pas à un paysan.

Il me parle enfin et je le regarde dans les yeux, il à l'air tellement gentil il cherche à me sauver. Il s'en ai pris à ma mère, voila à quoi les cris sont du. Je suis enfin sauver je vais enfin pouvoir avoir une vie, une nouvelle vie magnifique. Je regarde l'homme et lui tend la main et commence à se redresser et parle avec une voie bien grave et enrouée vu que elle n'a pas dit un mot depuis des jours

Je...vous me sauvez ....allons y alors .....


Je suis enfin debout avec la lumière du jour et je suis enfin habituée je me retourne vers l'homme et lui souris un peu, mais il me sort un rire bien particulier que je ne comprend pas sur le moment, je n'y prête pas attention, je veux juste sortir d'ici et pouvoir respirer l'air frais et me tenir loin de cette grange. Je commence à marcher mais je trouve qu il y à un truc qui cloche dans cette affaire mais je continu d'avancer vers la porte sans me rendre compte que l'homme derrière moi en à décidée autrement ......






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(#) Dim 26 Mai 2019 - 23:20
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The nightmare continue
Le trajet qui séparait Ramsay de Port-Réal était encore long, mais ses hommes lui avaient trouvé pour leur maître une source de distraction assez originale dans un endroit pour le moins insoupçonné. En effet, les Conflans n’étaient pas connus pour leur hospitalité charnelle, mais il se murmurait qu’une femme vendait le corps de sa fille à qui le souhaitait et que quelques piécettes supplémentaires pouvaient même lui faire fermer les yeux sur quelques coups donnés à son bétail de fille. Le bâtard de Fort-Terreur n’était pas friand du fait de prodiguer des coups à une femme qui ne pouvait pas se défendre, mais il n’avait rien contre un brin de torture par contre. Trouver la chaumière avait été facile, tout comme appâter la mère de famille. Après tout, Ramsay était vêtu comme le seigneur de Fort-Terreur, elle devait sans doute fantasmer sur l’idée que sa fille pouvait éventuellement produire un bâtard qu’elle désignerait comme le sien. Pauvre femme, si seulement elle savait. Que valait la vie du bâtard d’un bâtard? Encore moins que celle d’une pierre, c’était évident. Jouer avec la propriétaire des lieux avait été un amuse-gueule, une petite entrée en la matière avant de s’attaquer à la pauvre fille qui ne savait pas à quel point le ciel était sur le point de lui tomber sur la tête. La vie de la mère dépendrait de l’amusement que prodiguerait sa fille à Ramsay…et il était terriblement difficile à satisfaire. « Ne me dérangez pas, même si vous l’entendez hurler, sinon c’est vous tous que j’écorche, c’est compris? » Demanda-t-il d’une voix dure à la cantonade, fixant son regard étrangement bleu sur ses hommes. Une vague d’assentiment se fit entendre alors que le premier d’entre eux se dirigeait déjà vers la mère nue, épinglée sur le mur de sa propre maison.


À quoi ressemblait cette jeune fille? Était-elle belle comme le jour ou bien est-ce que sa mère la cachait dans les ténèbres de la grange justement parce qu’elle était vérolé de la grisécaille? Pour le commun des paysans, un trou était un trou et foutre sa queue dans une femme sale faisait partie de leur quotidien, mais pour Ramsay? Certainement pas. Dans le pire des cas, il allait simplement la torturer un peu, chose qu’il commença dès son entrée dans le bâtiment poussiéreux, sortant son ton le plus doux pour amadouer sa compagne de jeu. Le nombre de chose stupide qu’il déblatéra pour la mettre en confiance était sur le point de le rendre malade, mais un mouvement attira son attention, récompensant sa patience. Une jolie jeune femme sortit de sa cachette en lui tendant doucement la main, encore incertaine de la vision qu’il offrait. Sans se départir de son sourire, il l’aida à se relever tout en l’écoutant croasser sa petite phrase empli d’espoir. « Je vous suis, chère amie… » Dit-il dans un souffle alors que son sourire doux se transformait en quelque chose de beaucoup plus carnassier. Il la regarda s’éloigner de lui lentement avant de dégainer l’arc qu’il portait continuellement sur son dos. Encochant une flèche sur la douce corde de l’arme, il étira la corde et se dépêcha à viser avant de la relâcher. La flèche fendit l’air dans un sifflement aigue, frôla la joue de la jeune femme et se figea brusquement dans la porte, la fermant brutalement dans un claquement sec. L’obscurité s’étendit de nouveau dans la grande, faiblement illuminé par les rayons du soleil qui s’infiltraient par interstice de la construction baclée.


« Voyons, il ne faut pas fuir ainsi douce Aurora, votre maître commence simplement à vouloir jouer » Susurra Ramsay en abandonnant tout onctuosité dans sa voix en se rapprochant rapidement d’elle. Vif, il saisit la blonde à la nuque et la plaqua visage premier contre le mur de la grande, satisfait du craquement sonore qu’il entendit. « Tu es beaucoup trop habillé » Continua-t-il avant de tirer avec robustesse sur le vêtement déjà bien élimé de la femme qui se déchira sur toute la longueur, la laissant complètement nue et offerte. Lançant au loin le vêtement sale et en lambeaux, il regarda le dos parfaitement blanc de la jeune femme et le caressa du bout des doigts alors que son autre main lui plaquait toujours fortement le visage contre le mur de bois. « Je suis un homme de Fort-Terreur, tu connais notre emblème? » Demanda-t-il  dans le cou de la blonde tout en se plaquant contre le dos de la jeune femme, callant son début d’érection entre les fesses d’Aurora sans aucune gêne. Il sortit le dernier de ses poignards de son fourreau et en déposa la pointe sur la vertèbre saillante de la nuque nue de sa captive. « L’écorché tu connais? » Demanda-t-il encore avant de l’embrasser derrière l’oreille, faisant pénétrée la pointe de la lame dans la peau tendre qui s’étendait sous elle. «Pour écorcher un corps, il faut de la minutie et de la précision; faire entrer la lame dans la peau assez profondément pour ne pas seulement l’entaillé superficiellement, mais pas trop pour ne pas abimer le muscle » Commença-t-il à décrire d’une voix langoureuse en faisant lentement glisser la lame en ligne droite le long de la clavicule, fendant la peau comme si elle n’était que du beurre. «  Il faut suivre les os, ne jamais trembler et ne jamais arrêter le geste, sinon la lame ripe et déchire la peau de façon inélégante…en plus de la souffrance que ça occasionne » Continua-t-il en faisant justement riper sa lame pour déchirer un lambeau de peau de l’épaule de la belle dont il voyait maintenant un aperçu de son muscle lombaire par la plaie qu’il venait de créer.


La peau déchirée baillait contre le dos qui ruisselait maintenant de sang. Le visage toujours dans le cou de sa captive afin de pouvoir respirer sa terreur, Ramsay lui mordit la joue avec force jusqu’à sentir le goût du sang danser sur sa langue et grogna de satisfaction dans son oreille. « Pour l’instant, ton dos a encore l’opportunité de guérir sans trop en garder de trace si je m’arrête, mais il faudra être très, très très gentille. Dis-moi à quel point tu aimes sentir ma lame s’enfoncer dans ta peau, quémande ma queue…ronronne pour moi, petit chat » Ordonna-t-il d’une voix glaciale, lui faisant ainsi comprendre qu’un refus de sa part pourrait lui être tragique.



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(#) Mer 29 Mai 2019 - 23:11
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The nightmare continues.
Un crie me réveille de mes songe et pas n'importe lequel celui de ma mère enfin celle que je ne considère plus comme t'elle. Je me redresse et cours me cacher dans un coin de la pièce. Des hommes sont ici. Il s'en prenne à elle et pour une fois dans ma vie un petit espoir se réveille enfin je l’espère.

Un homme entre dans la pièce, après avoir passer dix bonnes minutes a le voir vraiment avec la lumière aveuglante. Je me redresse vers lui, il un visage doux. Il s'approche de moi et dit qu'il veux m'aider et me sortir d'ici. Je le regarde et soupire un peu comme un soulagement, enfin je vais sortir d'ici et connaitre une nouvelle vie, il est venu me sauver et je vais enfin pouvoir retrouver ma vie d'avant.

Il me dit qu'il me suis, je le crois, je suis sur le chemin de la liberté, d'une nouvelle vie et bien entendu de vouloir me venger de ma cruelle mère. Soudain une flèche frôle ma joue et je sursaute et la porte se ferme dans un claquement sec. Je ne suis pas du tout sauver je crois même que c'est le contraire. Je me retourne vers lui mais bien entendu je ne le distingue à peine.

Le son de sa voix deviens bizarre, celle d'un cruel sadique, je pense que ma liberté et loin d'être arriver et je crois que ma cruel mère n'a pas eu la même naïveté que moi. Il me saisit la nuque et me plaqua le visage sur le mur le plus proche et la douleur est fulgurante je gémis. Mais il me dit que je suis trop habiller et il tarde pas à enlever le vêtements salle qui me sert de robe. Je tremble, j'ai encore mal des autres viol mais je pense que je suis loin d'imaginer de ce qu'il va se passer ensuite.

Je sens sa main dans mon dos je tremble, la peur prend place il a toujours sa main sur mon visage. Il commence a parler qu'il viens de Fort Terreur. Je connais à peine mais rien que le nom me fait peur je gémis en négation. Je peux sentir son désir contre moi et une larme s'échappe de mes yeux il est encore pire que les autres que j'ai pu voir. Dans ma tète je voudrais qu'il face encore sa petite affaire et qu'il me laisse après. Mais j'ai peur pour ma vie.

Je peux soudain sentir une lame contre moi, le froid du couteau me fait sursauter il me parle de l’écorcher. Mais je ne peux répondre car il entre la lame dans ma peau et je gémis fort de douleur moitié étouffer par sa main toujours sur ma bouche. Il m’explique tout se barbare et bien entendu il joue avec la lame et commence à déchirer ma peau et je hurle de douleur et des larmes coule sur mes joue. Je tremble encore plus fort et me sens de plus un jouer dans les bras de se barbare.

Un liquide chaud coule dans mon dos et je me doute que le sang coule mais je ne sens que la douleur. La voie de mon bourreau me parait de plus en plus lointaine. Je sens son souffle toujours dans mon visage et j'ai juste envie de lui cracher dessus. Mais je ne peux rien faire je suis totalement à sa merci de me faire subir se qu il veux faire de moi. Et la douleur continu quand il me mort la joue à sang je suis prise de crise de tremblement et de petit cris comme si je convulsée.

Et le reste de sa demande me laisse encore plus mal je sens ma mort proche. Choisir entre la torture et le sexe, je pense encore choisir la deuxième chose mais je tente encore une chose.

Pitié..... laisser moi....je n'ai rien fait ....



Je parle à un sadique, un homme qui joue avec sa proie et qui en dire de son désir dans le pantalon adore cela je n'ai pas de chance d'obtenir se que je veux vraiment. Mais j'essaye quand même d'avoir un peu de courage au fond de moi quitte à mourir autant tout essayer

Je vous en prie pitié ......


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(#) Jeu 30 Mai 2019 - 16:32
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The nightmare continue
« Pitié? Est-ce que je t’ai demandé de m’implorer à la clémence, ma petite sauvageonne? » Susurra Ramsay, les lèvres encore collées contre la joue ensanglantée de la jeune femme avec laquelle il avait décidé de s’amuser un peu. Après tout, ce n’était pas à Port-Réal qu’il pourrait s’adonner à un petit jeu bien lubrique et pervers puisqu’il serait surveillé de toute part, il devait donc évacuer la vapeur ici, non? De plus, cette jeune paysanne était carrément jolie maintenant qu’il l’avait débarrassé de ses vêtements nauséabonds et qu’il avait sublimé son dos grâce à une longue entaille qui annonçait le début d’un écorchement digne de Fort-Terreur. Pourtant, il ne l’écorcherait pas…pas dans son entièreté et surtout pas si elle donnait un peu du sien. En ce moment, elle semblait beaucoup trop terrifiée pour vouloir jouer à l’un des jeux qu’il affectionnait tant et il commença à regretter l’absence de Myranda. Elle au moins se serait donné corps et âme pour le distraire de son ennui momentané. « Tu me déçois terriblement, ce n’est pas ce que je t’avais demandé…il va falloir punir jusqu’à ce que tu comprennes » Murmura-t-il avant de la retourner brusquement afin qu’elle se retrouve face à lui.


Sa peau était soyeuse, ses seins ronds et appétissant, sa taille fine. Bien sûr, son visage était souillé de sang et de larme, mais ce n’était qu’un simple détail. Le sang magnifiait ses pommettes saillantes de toute façon. De sa main qui ne tenait pas son poignard, il se saisit du sein gauche d’Aurora qu’il serra avec rudesse entre ses doigts, faisant entrer ses ongles dans la chaire de la poitrine. Déposant de nouveau la pointe du poignard au-dessus du sein qu’il tenait dans sa main, il esquissa un sourire peu rassurant et commença à faire glisser la lame d’un geste gracieux tout en décidant un R des plus élégants. Plusieurs filets de sang ruisselaient sur la peau blanche de la jeune femme alors que l’artiste qu’était le nordien dessina un A et un M fluide tout en suivant la courbe galber du sein. « Le problème avec les marchandises c’est qu’elles ont toujours tendance à croire qu’elles n’appartiennent à personne » Dit-il avec un ton de voix menaçante avant de tracer le S, le A et le Y qui terminait sa signature. Relâchant le sein, le bâtard de Fort-Terreur lapa lentement le sang de la jeune femme qui souillait l’un de ses doigts tout en fixant les yeux pleins de larmes de sa captive d’un air démoniaque. « Une esclave se doit d’être à genoux devant son maître » Rajouta-t-il avant de se reculer d’un pas.


Sans aucun signe avant-coureur, Ramsay prit son élan et envoya sa main avec force contre le visage d’Aurora, la giflant sans aucune retenue afin qu’elle s’effondre devant lui. « Voilà ta juste place » Se moqua-t-il avant de la saisir par la chevelure, enroulant les longues mèches blondes autour de son poing alors que son autre main détachait avec empressement son pantalon, libérant ainsi ce qui faisait sa fierté. Longue, dure et brillante d’excitation face à ce petit amusement bien sanglant, Ramsay colla sa verge contre le sein gauche sanglant d’Aurora et la barbouilla de son sang, dévoilant ainsi son nom gravé dans la chaire de la femme, telle une épitaphe qui la suivrait jusqu’à sa mort. « Il n’y a rien de plus beau qu’un sexe brillant du sang d’une femme jeune et innocente, n’est-ce pas? » Demanda-t-il avant de lui présenter son membre souillé de sang à quelques centimètres de son visage. « Alors, tu vas commencer à obéir comme une bonne petite chatte ou souhaites-tu que je devienne vraiment méchant? » Demanda-t-il en souriant largement, passant d’une voix menaçante à un ton beaucoup plus malicieux.





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(#) Lun 3 Juin 2019 - 22:44
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Je suis devant un homme qui est juste horrible, il à dis vouloir me sauver au début et comme naïve que je suis, je les cru et maintenant je suis à sa merci. Après m'avoir bloqué le coup contre sont bras et me claqué contre le mur le plus proche il à commencer par m'affliger des douleurs horrible. Je pleure, je hurle mais bien entendu il joue, je viens de comprendre je suis tomber sur un malade. Je lui demande encore de la pitié mais je sais très bien que c'est peine perdu dans le fond il commence seulement à jouer.

Je suis toujours collé contre lui et en plus toute nue et le dos en sang comme ma joue qui sont baigner de larmes. Je l'écoute parler et ferme les yeux en pleine crise de nouvelle larmes avec des tremblement de douleur. Il me dit ensuite que je vais être punis je rouvre les yeux mais je ne le supplie plus le mieux à faire c'est de plus rien dire et de subir. Je me retrouve ensuite face à lui et à sont regard des plus pervers et sadique qu il soit. Il commence à prendre mon sein dans sa main et jouer avec avant de pratiquer un jeu des plus barbare avec son poignard. Il entaille doucement ma chair et je hurle de douleur je tremble, je pleure je suis sens mes jambes flancher sous la douleur mais le sadique me tiens parfaitement contre lui et sais faire son boulot de torture comme il se dois.

Il ma marquer comme si j'étais une bête sa bête. Je ne sais pas vraiment se qu'il à écrit et mon cerveau ne pourrais même pas le comprendre tellement la douleur et présente. je l'entend à peine me parler. Il parle de marchandise mais je ne comprend pas tout et je peux croiser sont regard en léchant mon sang. Un grand malade dans ma tète je souhaite une chose la mort à ce moment la mais il me la refuserai je suis devenu sont jouer.

Il parle d'esclave, mais je ne comprend toujours rien avant de recevoir une gifle des plus brutal et de m’effondrer au sol comme une mal propre. Je Suis a genoux devant lui toujours en larmes et en tremblant toujours de plus belle j'ai du sang partout les plaie me brûle le dos la joue et le sein. Il viens ensuite vers moi et commence me prendre par les cheveux et me rapprocher de lui et il sort enfin sont membres. J'ai même plus peur de voir ceux la il n'est pas le premier à être passer par la pour le sexe. La peur est celle de souffrir dans les plus étrange des tortures. Quand il passe sont membres sur mon sein et dans le sang je regarde sans le regarder et l'écoute quand une autre crise de larmes arrive et je n'ai plus le choix maintenant je vais devoir écouter.

je...je..vais..obéir..


Je reste la à le regarder en tremblant en me demandant se qu'il va me faire par la suite et si sa va être encore plus terrible. J'ai tellement mal que sa soit à l’intérieur ou à l'extérieur j'en serai choqué à vie enfin si je le reste.

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(#) Mer 5 Juin 2019 - 5:30
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Les larmes, les supplices, la souffrance et la détresse…comment pouvait-on se laisser attendrir par ce genre de choses? La détresse et la soumission étaient la tactique des faibles afin d’éviter de souffrir et pourtant c’était ce que je trouvais de plus délicieusement délectable chez mes victimes. Plus elles pleuraient, plus j’étais excité, plus elles résistaient plus j’éprouvais de plaisir à les briser. Un visage baigné de larme est sublime, mais lorsqu’il est souillé de sang, il devient irrésistible. J’aimais bien jouer avec les faibles parce qu’ils étaient si facile à manipuler; ils souffraient, mais finissaient toujours par croire que c’était de leur faute parce qu’ils avaient mal agis. La captive devenait consentante et celle qui rêvait d’une liberté retrouvée se terrifiait d’être laissé à l’abandon par son bourreau. Avais-je cru que je pousserais le jeu aussi loin avec cette paysanne isolé dans sa grange miteuse? Certainement pas; en réalité je pensais simplement faire couler un peu de sang, la baiser jusqu’à ce qu’elle se déchire en deux et brûler la cabane avec elle et sa mère à l’intérieur, mais…elle avait été tellement crédule. Comment pouvait-on croire aussi facilement un inconnu qui déblatérait un flot de mièvreries dignes des plus stupide balade d’amour? De plus, soyons honnête…quel noble partirait à la rescousse d’une paysanne qui se prostituait contre son gré? Elles étaient des centaines comme elle. Non, sincèrement…elle méritait ce qui lui arrivait en ce moment et ressortirait certainement de ce petit moment plus humble qu’avant. En fait, elle devrait même me remercier de parfaire son éducation.


Détruire ses rêves de fuites, d’amour éternel et de château fut assez rapide. Au moins, elle avait assez de bon sens et de goût pour ne pas entrer dans un déni hystérique. Elle accepta de s’être laissé avoir avec un flot de larmes et de supplication et se laissa plaquer contre le mur et dévêtir sans émettre d’objection ostentatoire. En fait, elle était si placidement soumise que s’en était presque lassant. Était-elle déjà brisée au point d’accepter avec une résignation presque mortelle tout ce qui lui était fait? Même le début d’écorchage de la peau douce et chaude de son dos ne lui apporta pas de fibre de rébellion. C’était pour cette raison que je l’avais forcé à me faire face; j’espérais provoquer en elle assez de honte pour qu’elle réagisse un peu plus vivement que la mollesse dont elle faisait preuve en cet instant, mais rien à faire. Je voyais bien qu’elle n’appréciait pas le regard amusé que je laissais flâner avec langueur sur les courbes de son corps, mais elle ne changea pas d’attitude. Résolue à la faire sortir de sa torpeur, j’avais poussé le vice à me saisir de l’un de ses seins pour le serrer avec force alors que je gravais à jamais mon nom dans sa chaire, mais à part pleurer, couiner, gémir et hurler sa douleur, elle ne faisait rien. Bien sûr, j’ai senti à quelques reprises ses jambes céder sous la douleur, mais mon corps plaquer contre le sien l’empêchait de s’effondrer au sol.


R-A-M-S-A-Y…c’était fou comment j’adorais mon nom lorsqu’il brillait de sang et qu’il déchirait la peau d’une jolie jeune femme. La chose que j’aimais le plus après ça, c’était de badigeonner ma queue du sang dérobé pour forcer la belle à l’aspirer jusqu’à la dernière goutte. L’aspirer, mais également le déguster, s’en repaitre…adorer le goût du foutre et du sang assez pour qu’elle en réclame d’elle-même.  Pour l’instant, seule Myranda était réellement friande de cette collation, les autres faisaient semblant simplement pour échapper à la punition qui surviendrait si elles disaient le contraire. Exaspéré par la passivité de plus en plus exaspérante de la belle Aurora, je n’ai pas pu réfréner la violence de la gifle au visage que je lui ai envoyé tout comme je n’ai pas retenu son corps lorsqu’elle s’effondra au sol. J’en avais assez des larmes et des supplications. Le gentil Ramsay avait de plus en plus envie de laisser la place à sa personnalité plus sombre et avide de violence. « Tu vas obéir? Pourtant, tu t’amuses à rester planté là alors que j’attends » Susurrais-je d’une voix dangereusement douce lorsqu’elle confirma qu’elle serait dorénavant obéissante. Fallait-il être née dans un château pour deviner que lorsqu’un homme vous présente sa queue gonflé de plaisir devant votre visage, il fallait s’en saisir goulument avec sa bouche afin d’y faire danser sa langue sur le gland? N’apprenait-on rien au prostitué de basse-grange? « Moi je crois que tu aimes souffrir, petite fleur » Rajoutais-je doucereusement en remettant mon sexe dans mon pantalon.


Elle n’avait pas compris? Il me faudrait alors être plus convaincant. Je me suis alors accroupi devant elle afin de lui faire face et j’ai doucement relevé son visage afin qu’elle me regarde droit dans les yeux, caressant avec tendresse la joue meurtrie que j’avais giflé quelques minutes auparavant. « Tu sais Aurora, j’aurais pu être doux et tendre avec toi, mais tu as choisi de te rebeller. Les chevaux sauvages, on doit les dresser avec rudesse et fermeté afin de leur faire comprendre qui est le maître...il semblerait que ça soit de même avec toi » Rajoutais-je en claquant des doigts. Immédiatement, la silhouette de l’un de mes hommes apparue dans l’entrebâille de la porte du bâtiment. « Amène-moi une torche enflammé, je te pris » Ordonnais-je à l’homme qui s’empressa de partir dans un claquement métallique d’armure. Tous mes hommes savaient ce qu’il leur en couterait si l’envie de me désobéir leur prenait et aucun n’était prêt à prendre ce risque. Il ne fallut pas plus qu’une minute au soldat pour qu’il revienne avec l’objet de mon désir et il me tendit avec déférence le flambeau sans jeter le moindre regard à ma captive. Brave homme, il avait bien été dressé.


La torche entre mes mains et mon visage illuminé d’un éclat encore plus démoniaque, j’ai esquissé un sourire peu rassurant à Aurora avant de dire : « Les plaies terminent toujours par guérir et s’effacer, selon le Mestre qui était responsable de mon éducation lorsque j’étais petit…enfin, lorsqu’elles ne purulent pas. Comme je suis un homme généreux, je vais faire en sorte que tu gardes à jamais ce souvenir de moi ». Me saisissant de l’outre de vin qui pendait à ma taille, j’ai versé une généreuse rasade sur la lame de mon poignard et j’ai laissé le plat de mon couteau parcourir le contour de chaque lettre que j’avais déchiré sur elle. Était-elle assez instruite pour savoir que dès qu’une étincelle du flambeau la touchera, sa peau imbibé d’alcool se consumera jusqu’à racornir ses chaires? Savait-elle la douleur qu’elle ressentirait dans tout son corps pendant que le RAMSAY pénétrerait encore plus profondément dans sa chaire et ses muscles? « On marque le bétail par le feu…que me donneras-tu pour que je ne rapproche pas cette flamme de ton sein, jolie fleur? Oh…petit conseil d’amis, soit convaincante lorsque tu t’adresseras à moi » Recommandais-je alors que je rapprochais le flambeau de plus en plus près de sa jolie silhouette.




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(#) Ven 7 Juin 2019 - 23:11
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The nightmare continues.
La pièce sens le sang et le pire c'est que c'est le mien, après avoir subit les coup dans le dos sur la joue et maintenant le marquage sur le sein. J'ai les yeux rempli de larmes de douleur, de hontes aussi et de peur bien entendu. Je suis à genoux devant lui il ma mis sons membres sur ma poitrine le plongeant dans le sang avec tout se que j'ai déjà vécu celle ci est la plus horrible. Il me demande si je vais obéir je lui répond que oui je n'ai plus le choix maintenant.

Il me dit pourtant que je reste planter devant lui mais il attend quoi de moi exactement je suis déjà en sang. Il se penche ensuite devant moi et me regarde et me dit que j'aime souffrir mais non c'est faut. Je le sens encore plus fou je sens que il va encore m'arriver des choses horrible je ne répond pas et le regarde dans les yeux. Il pause enfin sa salle main sur moi et me caresse le visage je sursaute en attendant la gifle qui ne viens pas et l'écoute son monologue totalement fou. Ce type est fou. Il ma donc pris pour sa béte je suis devenu sa chose. Je baisse les yeux et remarque qu'il appelle un homme et lui demande une torche je pousse un crie

NOON je vous en prie Noon....


L'homme ne me regarde même pas il sais se qu'il est le laisse faire je suis totalement à sa merci je le regarde revenir vers moi et me parler doucement. Il me parle de mestre de plaie et je ne veux pas tout comprendre je sais que je vais avoir mal. Je pensais qu'il allais jouer avec le feu mais non il préfère encore me faire plus mal et plonger son poignard dans le vin et venir le replanter dans mon sein je hurle encore l'alcool brûle ma plaie si fort que on peux m'entendre hurler de l extérieur. J'entend ces dernier paroles

On marque le bétail par le feu…que me donneras-tu pour que je ne rapproche pas cette flamme de ton sein, jolie fleur? Oh…petit conseil d’amis, soit convaincante lorsque tu t’adresseras à moi »


Je plonge mes yeux dans les siens bien faible de la douleur et le regarde

Tout se que....voulez....


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(#) Sam 8 Juin 2019 - 5:11
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ATTENTION, PEUT CHOQUER!!!
Mon long soupire attristé quitta mes lèvres et se résonna en écho sur tous les murs autour de nous alors que toujours accroupi en face de ma jeune captive, je la regardais avec déception. Je l’avais écorchée, je l’avais frappé, j’avais gravé mon nom sur son sein tout en versant une généreuse rasade de vin fortement alcoolisé sur ses plaies, je menaçais de la faire brûler vive et pourtant, elle continuait d’être aussi molle qu’une vulgaire poupée de chiffons. Quelle femme ne comprenait pas les menaces d’un homme avide de son corps et qui lui disait ouvertement qu’il voulait abuser d’elle jusqu’à ce qu’elle fende en deux? Ne lui avait-il pas ordonné de se montrer avide de mon corps et prête à tout pour satisfaire chacun de mes caprices les plus vicieux? Je lui avais même glissé ma verge sous son nez et elle continuait tout de même à jouer à l’idiote. Était-elle réellement simple d’esprit dû à un trop haut taux de consanguinité dans sa famille ou feignait-elle un état mental déficient simplement pour jouer avec ma patience? Pauvre et douce petite colombe…n’avait-elle pas encore deviné que je n’étais pas un homme patient, surtout alors que j’étais relativement attendu à Port-Réal pour le déjà très célèbre mariage royal qui unirait à jamais le cerf et la rose. J’avais pensé que le fait de tremper sa peau d’alcool la terrifierait assez pour qu’elle commence à faire travailler ses petites mains et sa bouche, mais de toute évidence, elle faisait partie de ces étoiles de mer qui subissait en pleurant.


Il me fallait donc être encore plus cruel pour qu’elle comprenne? Ma foi, normalement je restais relativement doux avec les femmes puisqu’elle était dotée d’une stature frêle et qu’il était relativement mal vue de les tuer, mais celle-là commençait sérieusement à épuiser mes réserves de patience. « Tu ne pourras pas dire que je ne t’avais pas prévu, belle petite fleur » Susurrais-je en abaissant le flambeau afin que l’immense flamme vienne danser contre sa peau maculée de sang. Il y eut un grésillement délicieusement écœurant lorsque les flammèches commencèrent à lécher la peau d’Aurora et une puissante odeur de chair braisée emplie la grange. Ça devait faire un mal de chien de sentir sa peau se consumer lentement, de sentir sa peau se racornir sur elle-même autour des lettres gravée sur son sein par mon poignard, boursoufflant le contour de chaque lettre d’une délicieuse protubérance noircie. « Je crois que ça devrait être bon…pour le moment » Dis-je d’une voix cruellement pensive en redressant le flambeau afin que je puisse voir le résultat final. Comme je l’avais prévu, l’alcool avait guidé les flammèches seulement autour des lettres et avait préservé le reste de la peau. Du bout des doigts, j’ai caressé le R imposant de mon prénom et j’ai lancé le flambeau le plus loin possible de nous, le faisant tournoyer encore et encore dans le vide.


Il y eut un bruit de fracas et une odeur de paille humide s’éleva lentement autour de nous. Depuis quand les vieille grande en bois moisi brûlait aussi bien? J’espérais que cette jolie petite gueuse ne tenait pas trop à ce qui lui faisait office de maison…sinon, tant pis. « Le bois humide brûle terriblement lentement. La fumée noire va s’élever des murs et du sol, s’infiltrer dans tes poumons et tout faire brûler. Tu vas croire que tout en corps est en flamme de l’intérieur et tu souhaiteras mourir » Détaillais-je  en reprenant de nouveau mon poignard ensanglanté pour en glisser la lame entre les cuisses de la jolie paysanne, infiltrant de force la pointe de mon arme entre ses petites lèvres de miel qui avaient cent fois été labourées par les verges souillées de paysans plus ou moins propre. « Tu sais Aurora… » Commençais-je en faisant remonter la lame vers le haut de son petit terrain de jeu humide afin de trancher la peau tendre et rosé jusqu’à son clitoris avant de retourner vers le bas afin de scier avec langueur le périnée qui traçait un chemin violacé jusqu’à son anus. « ..j’ai dit que je commençais à perdre patience… » Continuait-je en faisant pénétrer la lame un peu plus profondément en elle alors que je plaquais mes lèvres contre les siennes afin de goûter un peu de ce que je payais si chèrement. « …tu m’as dit tout ce que je veux, alors que j’attendais que tu prenne les choses en mains pour mériter cet argent que j’ai donné à ta mère.» Murmurais-je contre ses lèvres en faisant bouger la lame dans un lent va-et-vient qui se voulait savoureux…pour moi, bien sûr. « Tu crois parvenir à enfin faire quelque chose d’utile avant que je t’ouvre en deux et que je te laisse pour morte dans cette grange qui s’écroulera sous les flammes? Je me sens magnanime aujourd’hui alors je vais te laisser sortir d’ici en même temps que moi si tu utilises ta jolie petite bouche pour me débarrasser de la tension qui perturbe mon entrejambe » Donnais-je comme ultimatum en lui mordant la lèvre inférieure avec force, attendant qu’elle réagisse un peu plus que ce qu’elle avait fait jusqu’à maintenant. Quelle sorte de femme restait sans réagir lorsqu’elle se faisait torturer?






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(#) Lun 10 Juin 2019 - 18:11
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The nightmare continues.
Je suis toujours à terre mon bourreau à encore jouer avec moi et mon corps, la douleur n'est même pas descriptible je pense que je l'aurais marquer à vie. Même si je doute encore de rester en vie très longtemps, il soupire il est encore en colère je le sens, pour lui je ne fais pas d'effort mais mon corps est faible et les efforts que je tente de faire pour rester en vie me prenne le reste de mes forces mais je dois luter si je ne veux pas mourir.

Il ne faut pas plus pour qu'il vienne me dire que il ne m'avais pas prévenu et la je n'ai pas le temps de faire quoi se soit que je sens la flamme du flambeau venir me brûler la peau Je hurle de toute mes force tellement la douleur est immense.

PAR PITIE .....STOPPP.......


La pire douleur est celle ci le feu remplace toute les autres douleurs l'odeur de griller envahi la pièce il s’arrête enfin mais la douleur reste et elle est tellement plus forte que les autres que je tombe presque au sol. Il frotte même sont doigt à l'endroit brûler je hurle encore. J'essaye de lutter mais cela deviens de plus en plus compliquer pour moi.

Mais le pire reste à venir il jette le flambeau bien plus loin dans la pièce et bien entendu la paille brûle et je distingue viens mon bourreau maintenant je l'écoute attentivement et bien entendu je souhaiterai déjà mourir mais il ne me laissera pas mourir dans une ci belle mort vu auquel personnage j'ai affaire. Je reste la à gémir de douleur. Soudain Il attrape de nouveau le poignard et viens me la plaer entre les jambes je sursaute et le regarde dans les yeux et je sens le poignard venir déchirer ma parti intime je hurle encore il va vraiment réduire mon corps en miette laisser des traces de lui partout je ne suis même plus rien maintenant. Je l'écoute toujours il pers de plus en plus patience. Il viens m'embrasser et me dire que je dois toujours prendre les choses en main. Je m'attend à tout et bien entendu quand j'entend la demande du bourreau donc je dois lui faire une fellation si je comprend bien et il me laisserai sortir d'ici j'ai du mal à le croire mais je n'ai pas le choix.

Je me redresse temps bien que mal et prend les forces qu'il me reste pour aller chercher son membres dans son pantalon et le sort et commence à le prendre en bouche et essaye temps bien que mal à lui donner son plaisir même si sa me dégoûte au plus haut point et que j'essaye de penser à autres chose que cela et à toute les douleurs de mon corps totalement meurtrie par mon bourreau.

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(#) Mar 11 Juin 2019 - 22:01
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The nightmare continue
La grange commençait à se remplir de fumé de plus en plus alors que le flambeau que j’avais lancé au loin répandait sa flamme sur la paille. Pour l’instant, le bois du bâtiment et la terre sur laquelle nous étions couchés étaient suffisamment humide pour ralentir les flammes, mais je savais bien que ce n’était qu’une question de temps. C’était pour cette raison que j’avais décidé d’augmenter la cadence et que j’avais lacéré l’intimité la plus profonde de la paysanne grâce à mon grand poignard. Jusqu’à maintenant, j’étais resté gentil et bon pour elle, mais si elle ne se dépêchait pas à comprendre quel était son travail, je lui ferais réellement comprendre le sens des mots cauchemars et souffrance. Heureusement pour elle, les entailles que j’avais créées entre ses cuisses semblaient enfin l’avoir convaincue qu’il était plus sage de m’obéir et bien qu’elle manqua diablement de conviction lorsqu’elle détacha mon pantalon pour en sortir ma verge encore souillé de son sang, bien qu’il était maintenant coagulé, j’ai grogné de contentement lorsque son souffle vint se plaquer sur la peau sensible de mon membre et que sa langue vint chatouiller mon gland. « Je savais que tu étais comme les chiennes de mon chenil, un peu de rudesse et tu obéi comme une bonne petite chose servile » Grognais-je alors que j’emmêlais mes mains dans sa chevelure blonde afin de l’empêcher à se redresser si l’envie lui prenait de recracher ma verge. Elle l’avait en bouche, il était hors de question qu’elle ne la suce pas jusqu’à ce que je décide de l’étouffer pour de bon avec la sauce spécial bâtard de Fort-Terreur !


Seulement, après quelques minutes à la sentir s’échiner sur mon entre-jambe, je devais me rendre à la raison, elle le faisait vraiment à contrecœur. Mais qu’est-ce que c’était que cette fierté candide et effarouchée ? Je la dressais et c’était ainsi qu’elle me remerciait ? Je ne comptais certainement pas brûler vif dans cette grange puante pour ses beaux yeux, Myranda en avait des aussi jolis et rechignait beaucoup moins lorsque venait le temps de m’engloutir. Me redressant afin de la forcer à s’agripper à mes cuisses pour ne pas tomber à la renverse, j’ai maintenu sa tête et j’ai commencé à donner de puissant coup de bassin, percutant violemment son visage contre mon bas-ventre alors que je glissais de plus en plus rudement ma queue profondément dans sa gorge, lui laissant à peine une seconde par-ci, par-là pour respirer. « Nettoie-bien tout le sang, c’est le tient et tu l’as voulu en biberon vu que tu adorais te faire marquer comme une bête » Sifflais-en grognant alors que mon gland percuta contre le fond de son palais. Sentir cette surface doucement rugueuse sur mon membre déjà bien excité me fit frissonner des pieds à la tête et ce fut avec un long râle d’excitation que j’ai éjaculé toute la tension accumulé de cette dernière heure.


Relâchant aussi vite ma poigne des cheveux de la paysanne, j’ai reculé d’un ou deux pas avec un petit rire satisfait alors que je remontais mon pantalon comme si de rien n’était. « C’était fantastique, un véritable travail de maître, de l’art à l’état pur » Dis-je le souffle court avant de passer ma main dans mes cheveux et de rajouter : « Je parlais de ma performance bien sûr, parce que franchement pour une pute, c’était clairement pathétique. Même pas capable de sucer convenablement. Enfin soit, au moins tu m’as permis de me vider un peu ». Je me suis finalement tourné et j’ai remarqué enfin que les flammes avaient commencé à s’attaquer à la structure fragile, la faisant trembler de plus en plus. Soupirant face à ce constat, j’ai tourné mon regard de ciel vers la jeune femme meurtrie qui était encore avachis au sol et j’ai esquissé un sourire forcé. J’avais promis de la laisser en vie si elle m’obéissait et même si elle s’était révélé être remarquablement médiocre dans son rôle, une promesse restait une promesse. « Je t’ai promis ta vie, mais je n’ai jamais dit que je t’aiderais à conserver. Bonne chance pour sortir d’ici dans ton état, ma chère amie. À vu de nez, tu as …quatre minutes avant que le plafond ne s’effondre sur toi. Deux si le bois est pourris. Bonne chance » Dis-je joyeusement tout en me dirigeant vers le mur le plus proche. D’un coup de pied, j’ai défoncer la surface de bois. « Pourris… » Dis-je en riant comme un dément avant de laisser la belle derrière moi. Pour ma part, je considérais avoir respecté ma promesse, je ne l’avais pas tué.





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(#) Jeu 20 Juin 2019 - 10:01
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Il a mis la grange en feu, le bourreau totalement fou va vraiment me tuer et en plus de la douleur de mon corps et de mon sein qui brûle entre la plaie à l'alcool ou encore la flamme qui à bruler la peau et qui laisse une plait totalement horrible. Je ne suis pas au bout de mes surprise et bien entendu j'ai raison. Il me demande de lui enfin faire plaisir et je n'ai plus le choix. Je me penche vers lui et prend son membre en bouche et lui donne ce qu'il veux . Je n'écoute à peine les remarque les plus rabais ante à mon sujet qu'il peux me faire et continu de lui faire sa gâterie.

Il commence par agripper les cheveux pour que j'aille plus loin et je peine à respirer je sens encore une vague de larmes me monter je suis vraiment devenu une chienne mais à quel prix, je ne suis même pas sur de survivre et quand il me dit de lécher mon propre sang j'ai un haut le cœur de dégoût mais je continu toujours. Les coup de de plus en plus violent je sens qu'il ne va pas tarder à se soulager et comme je me douter il arrive enfin dans ma bouche et je ne peu rien faire que d'avaler avec encore plus de dégoût sont plaisir bien pervers. Je reste au sol et l'écoute parler la grange fume de plus en plus. Je suis bien devenu sa pute enfin je ne les pas jamais demander j'ai juste envie de mourir maintenant je pense que la mort ne serai pas pire.

Je suis pas loin de comprendre quand je l'écoute parler et de voir se qu'il compte faire, me laisser mourir ici en brûlant vif. Il tape dans le bois qui est vraiment comme il le dit pourris et je tousse fort tellement la fumer et les flammes se rapproche de moi. Je me redresse un peu et me traîne au endroit encore protéger du feu et le regarde partir. J'ai quatre minutes pour sortir ou me laisser mourir ici je ne réfléchi pas tellement et prend encore un risque de vouloir m'en sortir et malgré toute les douleurs je gémit fortement de douleur et prend une immense force en moi et attrape un morceau de bois et tape dans la porte fermer par lui et tape fortement dedans pour la détruire, une fois, une deuxième, j'ai mal mais mourir brûler vif serai surement pire. Au bout de la quatrième fois la porte s'ouvre enfin et je tousse fortement les fumée noir de la paille qui brûle me font mal à l'intérieur je sort doucement de la et demande si le bourreau et encore la ou si il est vraiment parti.

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(#) Ven 28 Juin 2019 - 4:43
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Cette femme était vraiment une pute? Non, parce qu’il était plus que normal que j’en doute puisqu’elle ne semblait rien comprendre. Non seulement il m’avait fallu gentiment la mutiler pour qu’elle comprenne enfin ce que je désirais alors que quelques instants plus tôt je lui avais quand même mis mon membre virile sous le nez, mais en plus, elle s’étouffait après quelques coups de bassins un peu trop vigoureux. C’était donc ça, le meilleur coup de tout le Conflans? Bon sang, ils devaient bien s’ennuyer dans ce royaume misérable! En fait, foutre le feu dans cette grange pourris avait sans doute été la meilleure décision de ma journée, bien meilleure que de me fier aux paroles de la mère de la gamine en tout cas. La seule petite étincelle de jouissance que j’avais ressenti lors de cette petite visite buccale de courtoisie, c’était grâce à mes propres talents puisque ce fut seulement à partir du moment où je l’ai saisi par la tignasse pour entrer et sortir de sa bouche sans me soucier qu’elle puisse respirer que j’ai vraiment pris mon pied. « Tu sais ma jolie, je crois que même le cadavre de ma grand-mère serait plus douée que toi pour lécher une délicieuse sucette » Dis-je d’ailleurs à Aurora après m’être vidé dans sa gorge avant de la relâcher au sol. Ce genre de phrase était-elle vexante pour une prostituée? Intéressante question, j’allais devoir la posée à l’une des filles du premier bordel que je croiserais à Port-Réal.


Défonçant le mur le plus près de moi afin de ne pas rôtir comme un vulgaire gigot d’agneau, j’ai laissé la blonde seule dans sa grange enflammé sans me soucier de savoir si elle choisirait de vivre ou de mourir. Il y avait un mariage royal qui m’attendait, par tous les anciens Dieux! Terminant d’attacher mon pantalon alors que je me rapprochais de Sang, j’allais remonter sur le dos de mon fidèle destrier, mais il y eu quelques bruits étranges qui venaient du bâtiment que je venais de quitter. Depuis quand les morts faisaient un tel boucan? Interloqué, je me suis tourné vers la grange qui fumait de plus en plus d’un panache de fumée noirâtre et j’ai vu la porte trembler, comme si quelqu’un la cognait encore et encore. « Bon sang, je crois que je l’ai cogné un peu trop fort » Maugréais-je dans ma barbe imaginaire d’un ton de voix amusé.  Abandonnant de nouveau mon cheval, je me suis rapproché en riant de la geôle de la paysanne et j’ai attendu quelques instants, me demandant si elle parviendrait à sortir de ce brasier ou si elle suffoquerait comme un vulgaire mouton.


De toute évidence, la volonté de vivre de cette jeune femme était plus forte que je ne l’aurais d’abord imaginé puisqu’elle parvint à ouvrir la porte, malgré la flèche que j’y avais envoyée au début de notre rencontre. Applaudissant joyeusement lorsqu’elle s’écrasa au sol dans une quinte de toux qui était tout sauf sexy, je me suis rapproché de son petit corps tremblant et j’ai dit d’une voix énergique : « Félicitation, tu as échappé aux flammes de l’enfer sans même régurgité le petit repas maison que je t’ai fait avaler ». Me saisissant de la chevelure de la pathétique petite chose tremblante qu’elle était, je l’ai trainé sans ménagement jusqu’à la maison de sa mère tout en criant à mes hommes qui était encore dans la maison : « Faites place les gars, j’apporte la fille pour une petite réconciliation ». Oh oui, je comptais bien confronter la fille au corps de sa mère épinglé contre l’un des murs de sa cabane et tenter un petit rapprochement, pourquoi pas. Poussant Aurora à l’intérieur de la maison, j’ai sifflé en voyant la peau des cuisses de la mère entièrement déchirée alors que ses bras semblaient également sur le point de se sectionné par la pression qu’exerçait son poids sur les poignards que j’avais planté en elle. « Messieurs, je vois que vous vous êtes bien amusés avec elle vu toute la semence qui la recouvre, bon travail » Dis-je suavement en me rapprochant de la mère afin de l’observer d’un peu plus près.


Ses seins étaient recouverts de foutre et de sang, tout comme ses cheveux et son visage. « Qui a pissé sur cette charmante femme? Patel, c’est toi n’est-ce pas? Oh petit coquin, je le savais! » Demandais-je joyeusement à l’homme qui était à la gauche de la vieille blonde, mes yeux brillant d’un éclat de malice alors que je poussais Aurora contre sa mère. Voir cette jeune femme mutilée, brûlée et ensanglantée contre la poitrine de sa mère souillée me donna soudainement une idée lumineuse. « Messieurs, Aurora me disait lors de notre entretien dans la Grange qu’elle rêvait de laper du foutre sur la poitrine desséchée de sa mère tout en lui caressant le trou par lequel elle est sortie à sa naissance, mais comme elle est timide, elle a besoin de vos encouragements » Déclarais-je à la ronde. Comme un seul homme, mes soldats commencèrent à lancer des quolibets et des injures à Aurora alors que je me tournais de nouveau vers elle pour lui dire : « Surtout, prend ton temps, je veux profiter du spectacle ». L’éclat pervers de mon regard brillait de mille feux alors que je lui promettais milles tortures encore pires que ce qu’elle avait vécue dans cette grange si elle ne m’obéissait pas du premier coup. « Au fait chérie, si je ne vois pas assez ta langue, je serai forcée de te la couper afin de la voir un peu mieux alors lèche…lentement…et langoureusement » Terminais-je lentement d’une voix menaçante sans me départir de mon sourire avenant.


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(#) Mer 2 Oct 2019 - 23:34
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réponse prévu dans le mois blush
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(#) Mer 2 Oct 2019 - 23:38
Margaery Baratheon

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merci :)
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(#) Mar 3 Déc 2019 - 21:21
La Corneille
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