La curiosité est un vilain défaut« La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir. »Cassandre... était en colère.
Tout d'abord, on l'avait traînée à Port-Réal, plus particulièrement au Donjon Rouge. Elle détestait Port-Réal. Encore plus ce maudit château. Elle y avait vécu les pires moments de sa vie. Quant à la ville où il se trouvait, ce n'était qu'un nid à catins et à rustres où il ne valait mieux pas mettre les pieds la nuit. Elle serait volontiers restée à Hautjardin si Margaery n'avait pas tant insisté pour accompagner Renly. Son seul réconfort était de pouvoir passer plus de temps avec sa cousine tout en apprenant un peu plus sur ce qu'il se tramait à Westeros. Cassandre ne pouvait pas s'en empêcher. Laisser traîner une oreille ou deux était son sport préféré. Elle aimait bien trop la politique pour se refuser ce plaisir, même si elle avait peur. Pas pour elle, pour Margaery. Cersei serait là, plus redoutable que jamais. Elle se souvenait de tout, elle l'avait vu dans ses yeux. Ça l'avait glacé jusqu'aux os, et elle avait fait de son mieux pour ne rien laisser paraître. Elle en avait parlé à Margaery bien sûr, mais comme d'habitude, elle n'en avait fait qu'à sa tête. Ça aussi, ça l'avait énervé. Et inquiété, elle savait la reine mère prête à tout pour se débarrasser de sa rivale. Au moins, elle pourrait voir Tyrion. Cela faisait bien une éternité qu'elle ne s'était pas entretenue avec lui. Ça lui manquait. Mais ça ne compensait pas le reste. Cet endroit, les traitements qu'on lui infligeait, les souvenirs qui refaisaient surface. Elle avait fait de son mieux pour oublier durant ces derniers jours. Pour oublier la souffrance, la douleur, l'indifférence des autres. Elle avait fait de son mieux, mais tout lui revenait à la figure.
Et c'était douloureux.
Pas plus douloureux cependant que d'interrompre une passionnante conversation à cause d'une indiscrète. Assez ironique n'est-ce pas ? Surtout quand on savait qu'elle se prêtait au même exercice quotidiennement. Oui, Cassandre était curieuse, et ne considérait pas ça comme un défaut. En revanche, il le devenait chez les autres, surtout lorsque ça la concernait. Elle ne parvenait pas à dormir hier soir, sûrement à cause du voyage ou des multiples souvenirs qui l'assaillaient. Elle avait donc accepté l'invitation de Margaery à discuter avec elle, comme avant. Elle n'aurait refusé pour rien au monde à vrai dire, elle profitait de chaque minute. Elle savait combien le temps pouvait être taquin, mais aussi cruel. Il prenait autant qu'il donnait, et elle n'avait pas assez profiter de son amie durant sa première vie. De ce qu'elles partageaient.
Alors oui, elle avait accepté.
Le tout aurait pu se dérouler sans encombre si elle n'avait pas été surprise par une demoiselle, apparemment Lannister.
Oui, apparemment.
Cassandre connaissait bien la noblesse. Évidemment qu'elle la connaissait bien, puisqu'elle en faisait partie. Elle avait passé de longs mois dans ses bouquins, à étudier les us et coutumes de chacun, Essos, Westeros, les différentes branches des différentes maisons...
Or, il n'y avait pas de cousine Lannister qui se nommait Aurora. Il n'y avait pas non plus de cousine Lannister qui écoutait aux portes et s'excusait comme une servante.
Quelque chose clochait.
Elle avait décidé de mener son enquête. De comprendre pourquoi elle mentait et qui lui avait permis de le faire. Certainement pas Cersei et Jaime ne lui semblait pas capable d'une telle manoeuvre. Quant à Tywin, c'était quasiment de la fiction. Restait Tyrion. Evidemment, Tyrion.
Elle avait enquêté, appris que son arrivée à la Cour était à peine plus vieille que la sienne. Personne ne savait quoi que ce soit sur elle, ce qui n'était pas très étonnant. Restait à savoir ce qu'elle faisait là, pourquoi, et comment avait-elle fait pour s'attirer les grâces d'un Lannister.
Ce qu'elle comptait bien découvrir en allant directement lui poser la question.
En vérité, elle ne souhaitait pas la mettre dans l'embarras. Pas plus qu'elle ne voulait que Tyrion le soit. C'est pour cette raison qu'elle avait décidé d'aller la voir elle, et non pas quelqu'un d'autre. Elle voulait en parler.
Avant de faire quelque chose qu'elle pourrait regretter.
C'est ainsi que Cassandre Hightower se retrouvait à frapper à la chambre de la demoiselle, déterminée à lui poser quelques questions qui lui torturaient l'esprit depuis un trop long moment. Elle entra finalement sans attendre qu'elle lui ouvre, parce qu'elle n'aimait définitivement pas attendre.
- Bonsoir, Lady Lannister.
Elle appuya volontairement sur le dernier mot, un peu sadique elle l'avouait volontiers.
- Vous mentez. J'aimerais savoir pourquoi avant de tirer des conclusions peu flatteuses à votre égard.
Je suis dans ma chambre, je brosse mes cheveux doucement devant mon miroir de cette jolie chambre avec un magnifique paysage, je réalise encore pas que j'ai le droit à un si beau confort et surtout à une nouvelle vie qui est pour moi une renaissance. Je le dois à mon sauveur Lord Tyrion sans lui je ne serai rien.
Même si depuis que nous sommes ici il se fait rare je ne le vois pas tellement, il ma expliquer pas mal de chose sur la vie ici mais j'ai une impression qu'il m'évite. Depuis cette conversation la première nuit je me pose toujours autant de question. Je suis perturber par de drôle de sentiment nouveau. Des sentiments que je connaissait pas avant. Bien que il à était clair à se sujet. je n'arrive pas à passer outre de se sentiment qui est bien présent. Mais je respecte se qu'il ma demander et cherche pas à aller plus loin même si au fond de moi cela m'ennuie vraiment et que j'ai envie de faire des choses bien folle. Je soupire et je repose la brosse sur la table et commence à faire les cent pas dans la chambre. Mais soudain on frappe à ma porte je vais ouvrir et tombe sur Lady Cassandre la dame qui se trouver avec Lady Margy. Le ton de sa voie me fait un peu peur mais je la laisse rentré. Soudain je tombe des nues et commence à paniquer. je la regarde
Mais je ne ment pas ....
Mais comment elle l'a appris, elle nous aurai surprise avec Lord Tyrion impossible je ne lui est pas vraiment parler depuis notre arriver ici comment à t'elle pu l'apprendre il avais raison ici il faut faire attention a tout. je recule un peu Pourquoi une tel accusation je suis une Lannister, je viens plus du Nord tout simplement ....
La curiosité est un vilain défaut« La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir. »En vérité, elle n'en savait rien.
Elle n'avait aucune preuve concrète que cette jeune femme ne soit pas une Lannister. Il s'agissait simplement d'une intuition, et si elle pouvait sembler plutôt absurde au premier abord, Cassandre avait pourtant appris que son sixième sens ne la trompait que rarement. Elle avait appris à se faire confiance, et ça l'avait menée ici. Dans cette chambre. À terroriser cette pauvre jeune femme. C'était d'ailleurs la seule preuve qu'elle avait, cette terreur. Elle pouvait lire dans ses yeux la panique d'avoir été mise à jour, la peur de devoir s'expliquer devant les charognes que représentaient la Cour de Joffrey Baratheon. Sauf que ce n'était pas le cas. Cassandre ne l'obligerait jamais à faire une telle chose. Elle connaissait la douleur de l'humiliation, elle n'était pas assez cruelle pour l'infliger à quelqu'un d'autre. Au fond, cette visite n'était qu'un simple coup de bluffe particulièrement bien exécuté et un peu sadique, elle l'avouait volontiers.
- Il est inutile de mentir, mademoiselle. J'ai des preuves et je ne suis pas idiote. Je sais reconnaître une paysanne lorsque j'en vois une.
Elle lui adressa un regard chaleureux, presque maternel malgré ses mots durs. Elle ne voulait pas qu'elle se sente menacée, même si elle avait pu le faire croire au début. Sa voix aussi avait changée, s'était faite plus douce. Bien sûr, elle mentait toujours mais elle était persuadée qu'elle n'avait pas d'autre solution si elle souhaitait connaitre la vérité. Cassandre se plaça près de la fenêtre, y adossa doucement son épaule. La vue au dehors était splendide, Aurora avait de la chance. Elle n'avait pas eu la même, évidemment.
- Je ne souhaite pas vous nuire, sachez-le. Si telle était ma volonté vous seriez déjà dans les nombreux cachots de cet horrible endroit. Mais ce n'est pas le cas. Je veux simplement connaitre la vérité.
Mais elle n'avait pas de preuve, contrairement à ce qu'elle affirmait. En réalité, ce mensonge pouvait difficilement être mis à jour. Si elle avait pu le faire, c'était à cause de son entrevue avec la jeune femme, et parce qu'elle accordait de l'importance aux détails. Ce mensonge était bien ficelé, et ce n'était pas étonnant s'il provenait bien de l'esprit de Tyrion comme elle le soupçonnait.
Je suis tranquillement dans ma chambre, quand j'entend frapper à ma porte quand je vais ouvrir je suis surprise de tomber sur Lady Cassandre qui est bien bizarre et a peine rentrer qui me demande de pas mentir. Elle a tout compris bien entendu cette dame n'est pas stupide mais je dois quand même défendre mon secret j'essaye temps bien que mal. Paysanne, Madame mais non vous vous trompez...
Bon elle est bien plus intelligente que je ne le pense et j'avoue que je ne sais plus quoi faire, je croise sont regard et je peu voir que elle ne veux pas me faire de mal, on dirai même que elle voudrais me protéger mais je ne sais pas si je dois lui faire confiance car je ne la connais pas et j'ai encore des mots de Lord Tyrion qui dit de ne faire confiance à personne ici. Je sais très bien, Madame mais je vous assure que je suis une Lannister ...
Bon je sens que je suis pas crédible du tout et je sens que je vais craquer et devoir dire la vérité, et je sens que je vais me mettre en danger. Mais cette femme ma cerner au premier regard, je ne suis pas un Lady, j'arrive pas à le devenir je ne suis que une paysanne et je joue mal mon jeu
Je ...oui il est vrai ....je ne suis pas une Lannister et je suis belle et bien une paysanne...
Je tombe sur le coin du lit sans la regarder je ne sais se que elle va me faire à vrai dire je viens de me vendre dans la gueule du loup et ma si belle couverture tombe, je n'ose pas regarder la Lady. Vous allez le raconter à tout le monde ?
La curiosité est un vilain défaut« La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir. »Parfait, elle avait avoué.
Est-ce qu'elle en tirait une quelconque satisfaction ? Oui. Est-ce que ça lui suffisait ? Certainement pas. Aurora venait de confirmer ce qu'elle savait depuis le début, ça ne lui disait en rien comment elle était parvenue à avoir cette chambre au Donjon Rouge ni même comment elle était parvenue à usurper ce titre sous le nez de véritables Lannister. Alors oui, elle était heureuse parce qu'elle avait eu raison. Mais non, elle n'avait pas terminé avec la jeune femme.
- Non.
La brune s'éloigna de la fenêtre, dardant plutôt son regard sur la jeune femme qui lui faisait face plutôt que sur l'eau cristalline de Port-Réal. Bien sûr que non, elle n'allait pas la dénoncer. Elle n'allait pas non plus la faire chanter, la blondinette était donc plutôt bien tombée. Néanmoins, elle voulait savoir. Par pure curiosité, elle voulait savoir.
- Pour qui me prenez vous enfin... ce n'est pas comme si j'étais... Cersei...
Lady Cassandre grimaça bien peu élégamment pour une dame de son rang. Non, elle n'était pas Cersei. Elle n'était pas le genre de femmes qui utilisaient les faiblesses des autres pour leur extirper des faveurs, elle n'était pas ce genre là, elle était une bonne personne. Pourtant, c'était bien elle qui n'avait su sauver Margaery lorsqu'elle en eut l'occasion, et c'était bien elle qui avait assassiné son mari lors de sa nuit de noces...
Peu importe, ce n'était pas le sujet.
La brune s'assit au bord du lit de la jeune femme et tapota la place à côté d'elle. Elle voulait rétablir une relation saine entre elles, briser la tension qu'elle avait pourtant instaurée d'elle-même en premier lieu.
- Je vous en prie ma chère, venez.
Cassandre inclina doucement la tête, observant Aurora. Elle n'avait pas l'air d'une manipulatrice elle non plus. Elle n'avait pas l'air d'une mauvaise personne.
- Comment ?
La question pouvait paraitre sèche mais ne l'était pas. Le but de la Lady d'Hightower n'était pas d'effrayer la demoiselle, elle voulait simplement comprendre. Elle voulait comprendre pour pouvoir l'aider. Elle ignorait qui l'avait introduite à la cour, mais elle espérait qu'il était conscient de jouer un jeu dangereux. La jeune femme avait tout simplement l'air d'être une brebis déguisée en loup au sein d'une meute affamée.
- Comment avez-vous eu cette chambre Aurora ? Comment avez-vous eu ce titre ? Qui vous a aidé ? Parlez sans crainte, je vous en conjure.
Je suis piège et j'ai du avouer je ne suis pas bien car Lord Tyrion compte sur moi et il est aussi en danger que moi si la reine viens à l'apprendre je soupire et la regarde, elle ne va pas dénoncer je continu de la regarder Cersei non madame, mais ici on n'est sur de personne je les appris quand je suis arriver
Bien entendu la reine Cersei et la personne que j'évite le plus avec le roi Joffrey car il sont diabolique à mes yeux et je n'ai pas envie d'avoir ma tète sur un pique par simple jeux. Elle me demande ensuite de la suivre sur le lit à coté d'elle je n'ai plus le choix. Elle veux savoir pourquoi et comment je suis arriver ici je ne peux plus mentir. Je prend place près d'elle. Le comment est sec et je dégluti doucement. Elle me demande ensuite tout comment je suis ici et pourquoi je n'ai plus le choix je dois parler. Mais avant je me lève et verrouille la porte de ma chambre et regarde autour si personne ne se trouve ici. Je prend enfin de nouveau place auprès d'elle
Madame je m'appelle Aurora Dabenoc, je viens du conflans et je suis fille de paysan, j'ai grandit dans ma ferme avec mes parents, mais comment vous dire ma vie et loin d'avoir était tranquille je suis passer par tout se qui pouvais être le plus horrible
Je fis une pause un sanglot me traverse la penser de tout se qui m'est arrivé est encore dur à raconter
Ma propre mère ne ma jamais aimer, mon père a pris sa place mais il est mort pendant un orage et ma mère ma punis de sa mort en m'offrant à des hommes....pendant 3 ans j'ai passer mes nuits et mes journée enfermer dans cette grange a voir toute sorte d'homme venir me salir.
Des larmes coule sur mes joue tellement tout est horrible à raconter mais je suis sur la lancer alors je continu
Quand il y a eu se retour en arrière je me suis réveiller dans la forêt et quand je suis revenu et que j'ai vu ma mère, la rage, la colère a pris le dessus je les tuer à coup de hache et je me suis enfuit loin loin.
Je la regarde de nouveau dans les yeux C'est Lord Tyrion qui ma trouver, sans lui je serai morte aujourd'hui il me protège et il a trouver cette excuse pour que je soit en sécurité ici
Je ne dit plus rien et fond en larmes de nouveau c'est encore dur pour moi de tout raconter
La curiosité est un vilain défaut« La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir. »Cassandre était bien loin de se douter de qu'elle avait vécue.
Si son but n'avait jamais été de la blesser, elle ne s'était pas attendue à ce que la jeune femme fonde en larmes en lui racontant son passé. Elle n'avait jamais voulu la forcer à affronter ses vieux démons d'ailleurs, elle, elle voulait simplement comprendre ce qu'elle faisait au palais, comment elle avait rencontré Tyrion. Seulement, Cassandre comprit rapidement que son histoire personnelle était étroitement liée au Lannister et qu'il fallait passer par là pour qu'elle puisse comprendre. La brune découvrit avec horreur le destin tragique de cette jeune inconnue et ne sut quoi faire lorsqu'elle fondit en larmes. Elle se sentait bien bête maintenant, alors qu'Aurora paraissait si désespérée. Elle resta quelques secondes plantée à côté d'elle sans savoir quoi faire de ses mains avant de se décider à la consoler.
Et dieux, elle n'était absolument pas douée pour ça.
Cassandre tenta d'abord de lui tapoter gentiment le dos, mais elle avait l'impression qu'elle aggravait davantage la situation qu'autre chose. Elle tenta aussi de trouver les mots, balbutia quelques sons qui n'avaient aucun sens et qui étaient bien loin d'être réconfortants. Alors elle finit par céder et par abandonner la froideur au profit de son opposé. Cassie la prit dans ses bras, alors même qu'elle réservait d'ordinaire ce genre de traitements qu'à ses amies les plus proches. Elle comprenait pourquoi Tyrion avait aidé cette jeune femme, il y avait quelque chose de touchant en elle. D'authentique peut-être.
- Tout va bien, c'est terminé maintenant.
Un honteux mensonge, rien ne serait jamais terminé. Elle continuerait d'avoir mal, de se réveiller en sueur la nuit, elle continuerait de voir son visage et elle porterait la culpabilité de son meurtre toute sa vie. Elle le savait, elle était bien placée pour le savoir. Elle continuerait aussi à sentir leurs mains sur son corps, et elle continuerait à avoir honte parfois. Ça aussi, elle le savait. Mais elle savait aussi que ça s'atténuerait, elle savait aussi que le temps passait et que les plaies guérissaient avec lui. Qu'un jour, peut-être qu'elles n'auront plus mal. Ce dont elle était sûre, c'est qu'un mensonge pouvait parfois donner l'illusion d'être en sécurité et qu'il valait alors la peine d'être prononcé. C'est ce qu'elle aurait aimé entendre elle aussi. Ses mains dans les cheveux blonds de la jeune femme, Cassie redressa sa tête et plongea ses yeux dans les siens. Elle avait une belle âme.
Elle comprenait réellement pourquoi Tyrion s'était entichée d'elle.
- Plus personne ne vous fera de mal ici, je vous en fais la promesse.
Même si elle semblait dure à tenir, Cassandre ne promettait jamais à la légère. Elle aimait les gens, passionnément, fortement, imprudemment. Elle était libre désormais, et elle ferait tout pour que ses proches n'aient pas à subir les assauts de personnes malveillantes. Aurora venait de devenir une de ses proches, et Cassie pouvait se montrer sans pitié envers ceux qui voulaient les blesser.
- Je suis navrée de vous avoir contraint à me raconter votre histoire Dame Aurora. Je m'en excuse sincèrement.
J'ai tout raconté toute mon histoire. J'ai pleuré je suis pas bien temps de souvenir qui remonte à la surface, la violence de ma mère, des hommes qui m'ont violer tout remonte. Je reste assise et continu encore à pleurer je ne sais pas comment elle va réagir et elle viens enfin vers moi.
Terminer je ne sais pas, vous savez ici la vie est pas facile.
Oh bien sur que non trop de personne sont horrible ici, Lord Tyrion a raison mais je suis tellement curieuse et oui la curiosité et un vilain défaut dit t'on et par moment je me dit que je ne suis pas plus en sécurité ici que je ne le serai si j'étais rester sur le bord de la route. Enfin je serai surement morte mais surement pas d une manière aussi horrible que je pourrais l’être ici je suis pris dans mes songe et je souris à moitié à la dernière phrase de Lady Cassandre.
Une promesse vous dites, ici il y à pas que Cersei qui est horrible, son fils le roi à des jeux bien plus horrible et sans parler de leurs cousine.
Mais je soupire un peu et je me sens rassurer de lui avoir parler je peux enfin avoir confiance en une personne ici mise a part Lord Tyrion et sa me fait beaucoup de bien.
Non ne vous excuser pas il fallait que je vous le raconte pour que vous comprenais l'histoire de ma fausse nature et surtout comprendre pourquoi Lord Tyrion à agit ainsi il n'est pas comme le reste de sa famille c'est un homme bon et je lui dois ma vie.
Même si je commence a douter celle qui se trouve ici la vie de noble et tellement compliqué et je ne suis pas encore au bout de mes surprise mais j'ai trouvé peu être une amie de confiance en à la personne de Cassandre. Je vous connais à peine Lady Cassandre mais je veux vous faire confiance.
La curiosité est un vilain défaut« La faiblesse humaine est d'avoir des curiosités d'apprendre ce qu'on ne voudrait pas savoir. »Cassandre soupira lourdement en entendant Aurora lui rappeler que malgré toute sa bonne volonté, elle ne pourrait sûrement pas la protéger de quoi que ce soit. Du moins, pas autant qu'elle l'aurait souhaité. Elle savait que ce château était empli de mauvaises personnes, elle savait qu'elles étaient dangereuses mais elle connaissait aussi leurs fins, leurs faiblesses. Elle ne les craignait plus, plus autant qu'avant du moins. Cassandre avait connu la mort, rien ne pouvait être plus froid qu'elle.
- Je le sais bien...
Cassandre se saisit des mains de la blonde, et les serra dans les siennes. Bien sûr qu'elle savait, elle avait vu, subi, et n'avait jamais vaincu. Mais elle voulait que ça change, elle était prête pour que ça change. Se débarrasser de son terrible mari avait été la première étape et désormais, elle était prête à se battre aussi férocement que Cersei le faisait pour ses enfants.
- Joffrey est un imbécile, il n'est pas une menace. Vous verrez, vous parviendrez à vous en sortir.
En effet, la brune ne craignait pas réellement Joffrey. Pas autant que sa mère du moins, ou même son grand-père. Ceux là avaient un cerveau en dessous des cheveux blonds, Joffrey... et bien personne n'en avait eu la preuve jusque là.
- Il est tellement obnubilé par sa petite personne qu'il ne vous remarquera même pas.
Et si c'était le cas... et bien elle s'en sortirait. Elle s'en sortirait peut-être seule, ou avec l'aide de Tyrion ou la sienne. Dans tous les cas, elle s'en sortirait.
- Je peux vous aider, au moins en confirmant votre identité auprès des autres dames de la Cour.
Après tout, elle avait acquis une certaine aisance auprès de ses semblables, puisqu'elle n'était autorisée qu'à ne côtoyer des femmes du vivant de son très cher époux. Elle avait toujours su... convaincre lorsqu'elle le voulait vraiment. Désormais, il n'y avait plus qu'à mettre en pratique toutes ces années de commérages et de conversations futiles au profit d'une bonne cause.
- Il faut bien se serrer les coudes entre dames, pas vrai ?
Elle lui fit un rapide clin d’œil, suivi d'un sourire bienveillant. Oui, elle allait l'aider, elle en était décidée. :copyright:? 2981 12289 0
Lady Cassandre me comprend et je soupire de soulagement même si la peur reste encore présente je ne serai jamais vraiment en paix ici et je le sais très bien. Je lui dit moi même. Elle me prend les mains et je sens de la sincérité vis à vis de elle et l'écoute attentivement.
J'ai entendu beaucoup de choses sur lui vous savez il a quand même fait couper la tète de l'ancienne main de son "père".
Je la regarde droit dans les yeux, oui il est surement un gamin mal élevée mais il est roi et il peux se permettre justement ce genre de choses. Je souris un peu à sa dernière remarque.
Pour le moment c'est moi qui l'évite on va dire comme sa mère. Lord Tyrion m'en a tellement appris sur eux que je ne préfère pas les approcher.
Oui je reste loin de ces personne et m'approche pas de la cour même si Port Réal est loin d’être un endroit sur. Je tremble soudain pas sur de ce que elle me demande
Je ne suis pas tellement sur que c'est une bonne idée, Lord Tyrion voulais que sa reste un secret et si jamais on le dit sa va venir au yeux du roi tout se sais ici.
Et si jamais on me renvoie dans le Conflans ma tète sera demander au nom de mon frère pour le meurtre de notre mère et j'ai pas envie de retourner la haut. Même si le secret et compliqué à tenir ma vie est mieux ici et puis je ne pourrais pas partir loin de mon sauveur.
Oui ma Lady vous avez raison il faut se serrer les coudes mais discrètement du moins le temps que je parle à Lord Tyrion.
Je me redresse doucement et respire doucement je suis soulager d'un poids et le fait d'avoir une allier me procure un bien fou.
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